« L'égoïste n'est pas celui qui vit comme il lui plaît, c'est celui qui demande aux autres de vivre comme il lui plaît, l'altruiste est celui qui laisse les autres vivre leur vie, sans intervenir. » Oscar Wilde
« We were all astonished to hear so strange things so probably told »
« Nous étions stupéfaits d’entendre dire des choses aussi étranges présentées de
façon aussi plausible » Sir Francis Bacon, La Nouvelle Atlantide, 1627
“Une utopie est une réalité en puissance.” Edouard Herriot
“Une règle du parlement d'Utopie est de ne jamais débattre d'une loi le même jour de sa proposition.” Thomas More
Rappel UTOPIE : Antonyme : dystopie, contre-utopie. Etymologie : dérivé du grec "topos" (lieu) avec le préfixe "u" qui signifie : sans lieu, en l'absence de lieu. Mot inventé par Thomas More en 1516, désignant une société imaginaire idéale....celle dont avons besoin.
Le Monde dans lequel nous vivons est de plus en plus fou, ici et ailleurs, nul n'est épargné, la pandémie à mis le feu aux cerveaux, le feu et le chaos de la planète avec plus de 2 millions de décès.
Regardez la une du NYT, édifiante....tout va ben......
La France en retard de tout notamment pour la pandémie, la révolte aux USA des "trumpistes", les anti-vax, les complotistes, les suprémacistes et les suprématistes, les racistes, l'intersectionnalité, les comités Théodule qui se multiplient, le climat qui perd ses repaires, le confinement, le déconfinement, l'infantilisation des populations, le séparatisme, la police, l'extrémisme religieux, la laïcité qui explose, l'absence de solidarité, la transparence flootée, les masques, les tests, les vaccins dans le désordre total........bref on vit non pas une époque merveilleuse mais une époque déboussolée comme le sont les politiques qui sont aux comandes et comme l'est la société, nous sommes devenus des Shadoks.
« We were all astonished to hear so strange things so probably told »
« Nous étions stupéfaits d’entendre dire des choses aussi étranges présentées de
façon aussi plausible » Sir Francis Bacon, La Nouvelle Atlantide, 1627
“Une utopie est une réalité en puissance.” Edouard Herriot
“Une règle du parlement d'Utopie est de ne jamais débattre d'une loi le même jour de sa proposition.” Thomas More
Rappel UTOPIE : Antonyme : dystopie, contre-utopie. Etymologie : dérivé du grec "topos" (lieu) avec le préfixe "u" qui signifie : sans lieu, en l'absence de lieu. Mot inventé par Thomas More en 1516, désignant une société imaginaire idéale....celle dont avons besoin.
Le Monde dans lequel nous vivons est de plus en plus fou, ici et ailleurs, nul n'est épargné, la pandémie à mis le feu aux cerveaux, le feu et le chaos de la planète avec plus de 2 millions de décès.
Regardez la une du NYT, édifiante....tout va ben......
La France en retard de tout notamment pour la pandémie, la révolte aux USA des "trumpistes", les anti-vax, les complotistes, les suprémacistes et les suprématistes, les racistes, l'intersectionnalité, les comités Théodule qui se multiplient, le climat qui perd ses repaires, le confinement, le déconfinement, l'infantilisation des populations, le séparatisme, la police, l'extrémisme religieux, la laïcité qui explose, l'absence de solidarité, la transparence flootée, les masques, les tests, les vaccins dans le désordre total........bref on vit non pas une époque merveilleuse mais une époque déboussolée comme le sont les politiques qui sont aux comandes et comme l'est la société, nous sommes devenus des Shadoks.
Quelles explications ? En un la peur et les hésitations à tous les niveaux, une science trop émotive et trop incertaine pour certains, une logique qui devient illogique, l'absence d'anticipation, le recroquevillement sur soi, l'enfermement, le renoncement, un pouvoir isolé des réalités, un tunnel sans sortie,le populisme, les illustres qui s'illustrent dans l'inceste, les politiques véreux, des couvre-feux variables et occasionnels, des médecins hallucinés et enfin......un VIRUS qui se marre, des théoriciens à la pelle, on arrive à un point de non retour...mais heureusement il y a le vaccin. Là encore nous sommes partis en retard puis tout s'est accéléré dans le désordre.....et l'improvisation à tous les étages. Qui fait quoi et comment ? Difficile de tout comprendre....au stade où nous en sommes....mais comprendre est-ce si important quand le faux et le vrai se mélénge en permanence....volontairement.
Alors quelles sont les solution ? La psychanalyse de la planète oui mais trop longue, changer le giouvernement, les candidats sont légions mais passer de candidats à gouvernants la marge d'efficacité est tenue, utiliser le pragmatisme, la science au sens noble du terme, s'occuper "des gens", leur santé, la précarité, la faim, le travail, l'éducation ,l'économie leurs religions, leurs envies. Réconcilier ce qui peut l'être encore mais surtout envisager demain. Or aujourd'hui le demain qu'on nous promet sera le hier d'hier et ça on n'en veut pas, on souhaite pour demain un autre demain, pas delui d'hier. On veut une société apaisée, on a besoin d'un brake, on a besoin de solidarité et de transparence, on a besoin d'entraide, de penser NOUS et non JE. C'est une base, utopique certes, mais dans l'utopie il y a quelques bonnes raisons d'espérer.
Qu'est ce que l'UTOPIE ? "Lorsqu’on parle d’utopie aujourd’hui, on évoque un projet politique irréalisable, une idée chimérique proférée par de doux rêveurs désireux de changer le monde. L’utopie n’est pas sérieuse, elle est riante, elle prête à l’illusion d’un possible monde meilleur. Mais d’où vient l’utopie, et d’où vient cette signification qui lui est désormais systématiquement associée alors même qu’elle s’éloigne considérablement de sa nature première ? À l’origine, l’Utopie est un roman écrit pas Thomas More et paru pour la première fois en décembre 1516, à Louvain et encore d'actulaité en y réfléchissant un peu. . Ce roman à la longue postérité est à mi-chemin entre l’essai philosophique, le récit de voyage et le roman humaniste. L’hybridation des genres est particulièrement caractéristique de ce singulier roman ne pouvant être réduit à aucune étiquette. L’Utopie, sa trame et sa narration ont laissé une profonde trace dans l’horizon littéraire européen. La seule œuvre de Thomas More a ainsi fondé les poncifs du genre utopique. C’est là le génie premier d’un auteur visionnaire qui par son œuvre a su fonder un genre littéraire à part entière connaissant aujourd’hui encore un héritage durable." (Zoé Moulinier). Pour More parlant des demis-savants.... si nombreux sur les plateaux TV : « L'un est si austère qu'il n'admet aucune plaisanterie ; un autre a si peu d'esprit qu'il ne supporte aucun badinage. Il en est de si fermés à toute ironie qu'un persiflage les fait fuir, comme un homme mordu par un chien enragé quand il voit de l'eau. » Une utopie est une contre-image positive du réel qu’elle dénonce ou qu’elle cherche à dépasser. Une utopie se pense donc toujours en rapport à une société existante, à un régime politique en place, à une réalité bien tangible. L’Utopie de Thomas More, quant à elle, représente à son époque une Angleterre idéalisée, aux lois mieux pensées, et plaçant en son centre non seulement le bonheur de ses citoyens, mais aussi l’interdiction de toute monnaie, permettant ainsi d’éviter toutes formes de profit, avarice et autres corruptions. Donc l'Utopie de 2021 aurait comme modéle la société dans laquelle nous vivons aujourd'hui dans le but de l'améliorer. Tomas More admet être partagé entre un scepticisme critique et une grande admiration pour cette étrange modèle utopien. De cette admiration naît d’ailleurs un désir de la part du narrateur de voir peut-être un jour certaines mesures du gouvernement des Utopiens adoptées dans son pays.
Tout cela pour dire que construire une nouvelle société qui aurait tenue compte de tous les désordres provoqués par la pandémie serait peut-être une Utopie mais avec un passage possible en douceur vers un nouveau réel. Mais trop peu de décideurs y sont prêts voulant préserver avant tout leurs acquis et si possible "jouir" de la situation actuelle au passage. Si on veut recomposer la société à la lumière des leçons de la pandémie il faut le dire, il faudra innover, il faut de la volonté, il faut de la transparence, de l'éthique, beaucoup d'éthique.
Jean Leonetti insiste sur plusieurs points concernant l'éthique dont il est un spécialiste : « Le doute éthique est l’outil nécessaire pour prendre les décisions justes » et « C'est la démarche éthique seule qui peut trouver un chemin d'équilibre » . De plus il affirme : "la pandémie nous apprend aussi que la démocratie ne peut pas longtemps être mise entre parenthèses et que la critique, si elle exclut la recherche obsessionnelle du coupable, est nécessaire. La pandémie nous invite à repenser nos débats au travers d’une éthique au service de l’efficacité. L’éthique de convictions, celle des grands principes, pourrait alors rejoindre l’éthique de responsabilité, celle de l’action, dans une démocratie moderne et apaisée." (https://www.espace-ethique-azureen.fr/2020/12/17/hors-serie-regard-croises-sur-la-pandemie/)
Une utopie maîtrisée avec beaucoup d'éthique et d'idées novatrices, voilà un avenir possible.
Alors quelles sont les solution ? La psychanalyse de la planète oui mais trop longue, changer le giouvernement, les candidats sont légions mais passer de candidats à gouvernants la marge d'efficacité est tenue, utiliser le pragmatisme, la science au sens noble du terme, s'occuper "des gens", leur santé, la précarité, la faim, le travail, l'éducation ,l'économie leurs religions, leurs envies. Réconcilier ce qui peut l'être encore mais surtout envisager demain. Or aujourd'hui le demain qu'on nous promet sera le hier d'hier et ça on n'en veut pas, on souhaite pour demain un autre demain, pas delui d'hier. On veut une société apaisée, on a besoin d'un brake, on a besoin de solidarité et de transparence, on a besoin d'entraide, de penser NOUS et non JE. C'est une base, utopique certes, mais dans l'utopie il y a quelques bonnes raisons d'espérer.Qu'est ce que l'UTOPIE ? "Lorsqu’on parle d’utopie aujourd’hui, on évoque un projet politique irréalisable, une idée chimérique proférée par de doux rêveurs désireux de changer le monde. L’utopie n’est pas sérieuse, elle est riante, elle prête à l’illusion d’un possible monde meilleur. Mais d’où vient l’utopie, et d’où vient cette signification qui lui est désormais systématiquement associée alors même qu’elle s’éloigne considérablement de sa nature première ? À l’origine, l’Utopie est un roman écrit pas Thomas More et paru pour la première fois en décembre 1516, à Louvain et encore d'actulaité en y réfléchissant un peu. . Ce roman à la longue postérité est à mi-chemin entre l’essai philosophique, le récit de voyage et le roman humaniste. L’hybridation des genres est particulièrement caractéristique de ce singulier roman ne pouvant être réduit à aucune étiquette. L’Utopie, sa trame et sa narration ont laissé une profonde trace dans l’horizon littéraire européen. La seule œuvre de Thomas More a ainsi fondé les poncifs du genre utopique. C’est là le génie premier d’un auteur visionnaire qui par son œuvre a su fonder un genre littéraire à part entière connaissant aujourd’hui encore un héritage durable." (Zoé Moulinier). Pour More parlant des demis-savants.... si nombreux sur les plateaux TV : « L'un est si austère qu'il n'admet aucune plaisanterie ; un autre a si peu d'esprit qu'il ne supporte aucun badinage. Il en est de si fermés à toute ironie qu'un persiflage les fait fuir, comme un homme mordu par un chien enragé quand il voit de l'eau. » Une utopie est une contre-image positive du réel qu’elle dénonce ou qu’elle cherche à dépasser. Une utopie se pense donc toujours en rapport à une société existante, à un régime politique en place, à une réalité bien tangible. L’Utopie de Thomas More, quant à elle, représente à son époque une Angleterre idéalisée, aux lois mieux pensées, et plaçant en son centre non seulement le bonheur de ses citoyens, mais aussi l’interdiction de toute monnaie, permettant ainsi d’éviter toutes formes de profit, avarice et autres corruptions. Donc l'Utopie de 2021 aurait comme modéle la société dans laquelle nous vivons aujourd'hui dans le but de l'améliorer. Tomas More admet être partagé entre un scepticisme critique et une grande admiration pour cette étrange modèle utopien. De cette admiration naît d’ailleurs un désir de la part du narrateur de voir peut-être un jour certaines mesures du gouvernement des Utopiens adoptées dans son pays.
Tout cela pour dire que construire une nouvelle société qui aurait tenue compte de tous les désordres provoqués par la pandémie serait peut-être une Utopie mais avec un passage possible en douceur vers un nouveau réel. Mais trop peu de décideurs y sont prêts voulant préserver avant tout leurs acquis et si possible "jouir" de la situation actuelle au passage. Si on veut recomposer la société à la lumière des leçons de la pandémie il faut le dire, il faudra innover, il faut de la volonté, il faut de la transparence, de l'éthique, beaucoup d'éthique.
Jean Leonetti insiste sur plusieurs points concernant l'éthique dont il est un spécialiste : « Le doute éthique est l’outil nécessaire pour prendre les décisions justes » et « C'est la démarche éthique seule qui peut trouver un chemin d'équilibre » . De plus il affirme : "la pandémie nous apprend aussi que la démocratie ne peut pas longtemps être mise entre parenthèses et que la critique, si elle exclut la recherche obsessionnelle du coupable, est nécessaire. La pandémie nous invite à repenser nos débats au travers d’une éthique au service de l’efficacité. L’éthique de convictions, celle des grands principes, pourrait alors rejoindre l’éthique de responsabilité, celle de l’action, dans une démocratie moderne et apaisée." (https://www.espace-ethique-azureen.fr/2020/12/17/hors-serie-regard-croises-sur-la-pandemie/)Une utopie maîtrisée avec beaucoup d'éthique et d'idées novatrices, voilà un avenir possible.
Une solution pour l'avenir ....c'est utopiquement possible