"Un pouvoir impunément bravé touche à sa ruine. Cette maxime est gravée plus profondément au coeur d'une femme qu'à la tête des rois." Honoré de Balzac
“S’il est vrai que les hommes sont meilleurs que les femmes parce qu’ils sont plus forts, alors pourquoi les lutteurs de Sumo ne sont-ils pas au gouvernement ?” – Kishida Toshiko
“Seule, je ne peux pas changer le monde, mais je peux jeter une pierre dans l’eau et créer de nombreuses ondulations” – Mère Teresa
" La violence est le dernier refuge de l’incompétence" Asimov
Voici 7 femmes à la tête d'un état :
Jacinda Harden (39 ans) : Premier Ministre de la Nouvelle Zélande
Angela Merckel (65 ans) : Chancellière de l'Allemagne
Sanna Marin (34 ans) : Premier Ministre de la Finlande
“S’il est vrai que les hommes sont meilleurs que les femmes parce qu’ils sont plus forts, alors pourquoi les lutteurs de Sumo ne sont-ils pas au gouvernement ?” – Kishida Toshiko
“Seule, je ne peux pas changer le monde, mais je peux jeter une pierre dans l’eau et créer de nombreuses ondulations” – Mère Teresa
" La violence est le dernier refuge de l’incompétence" Asimov
Voici 7 femmes à la tête d'un état :
Jacinda Harden (39 ans) : Premier Ministre de la Nouvelle Zélande
Angela Merckel (65 ans) : Chancellière de l'Allemagne
Sanna Marin (34 ans) : Premier Ministre de la Finlande
Tsai Ing-Wen (63 ans) Présidente de Taiwan
Katrín Jakobsdóttir (44 ans) : Premier Ministre d'Islande
Mette Frederiksen (42 ans): Premier Ministre du Danemark
Erna Solberg (59 ans) : Premier Ministre de la Norvège
Qu'ont elles en commun : elles ont toutes mieux géré le COVID-19 que leurs confrères masculins en France, en Italie, en Espagne , en Grande Bretagne , aux Etats Unis, en Russie etc.
Moins de décès dans leurs pays, meilleur gestion des tests de dépistage, recherche systématique des contacts.
Nous devons résister à tirer des conclusions sur les femmes dirigeantes, quelques personnes exceptionnelles agissant dans des circonstances exceptionnelles. Mais les experts disent que le succès des femmes peut encore offrir de précieuses leçons sur ce qui peut aider les pays à surmonter non seulement cette crise, mais d'autres à venir. C'est un nouveau style de leadership, dont il faut à la fois tenir compte et apprendre.
Si on essaye d'aller plus loin : leur approche de la crise COVID-19 s'est faite avec plus de proximité avec la population, des discours simples et courts,compréhensibles par la majorité et l'utilisation des réseaux sociaux. Et elles ont fait face en déployant leurs actions sans tergiverser avec franchise, détermination, empathie, réactivité et anticipation, qui sont les clés d'une gestion efficace......Et sans jamais prononcer le mot "guerre"...
Un exemple :Jacinda Ardern s'est adressée à la nation pour annoncer le confinement le 25 Mars, via une session Facebook Live, décontractée, à partir de son téléphone après avoir mis son tout-petit au lit. Vêtue d'un sweat-shirt confortable, elle a apaisé les angoisses des citoyens et a présenté ses excuses à tous ceux qui ont été surpris ou alarmés par l'alerte d'urgence qui a annoncé l'ordre du confinement.
Toutes ont envisagé la crise par la simplicité, elles ont été compatissantes donc rassurantes.
Un de leurs points forts c'est le parler vrai, autenthique, avec une ligne de conduite qui n'a jamais changé à la différence de celle de D. Trump, de B. Johnson, de V. Poutine.....et E. Macron
Katrín Jakobsdóttir (44 ans) : Premier Ministre d'Islande
Mette Frederiksen (42 ans): Premier Ministre du Danemark
Erna Solberg (59 ans) : Premier Ministre de la Norvège
Qu'ont elles en commun : elles ont toutes mieux géré le COVID-19 que leurs confrères masculins en France, en Italie, en Espagne , en Grande Bretagne , aux Etats Unis, en Russie etc.
Moins de décès dans leurs pays, meilleur gestion des tests de dépistage, recherche systématique des contacts.
Nous devons résister à tirer des conclusions sur les femmes dirigeantes, quelques personnes exceptionnelles agissant dans des circonstances exceptionnelles. Mais les experts disent que le succès des femmes peut encore offrir de précieuses leçons sur ce qui peut aider les pays à surmonter non seulement cette crise, mais d'autres à venir. C'est un nouveau style de leadership, dont il faut à la fois tenir compte et apprendre.
Si on essaye d'aller plus loin : leur approche de la crise COVID-19 s'est faite avec plus de proximité avec la population, des discours simples et courts,compréhensibles par la majorité et l'utilisation des réseaux sociaux. Et elles ont fait face en déployant leurs actions sans tergiverser avec franchise, détermination, empathie, réactivité et anticipation, qui sont les clés d'une gestion efficace......Et sans jamais prononcer le mot "guerre"...
Un exemple :Jacinda Ardern s'est adressée à la nation pour annoncer le confinement le 25 Mars, via une session Facebook Live, décontractée, à partir de son téléphone après avoir mis son tout-petit au lit. Vêtue d'un sweat-shirt confortable, elle a apaisé les angoisses des citoyens et a présenté ses excuses à tous ceux qui ont été surpris ou alarmés par l'alerte d'urgence qui a annoncé l'ordre du confinement.
Toutes ont envisagé la crise par la simplicité, elles ont été compatissantes donc rassurantes.
Un de leurs points forts c'est le parler vrai, autenthique, avec une ligne de conduite qui n'a jamais changé à la différence de celle de D. Trump, de B. Johnson, de V. Poutine.....et E. Macron
En Finlande la jeune Première Ministre a eu les bon réflexes ;témoignage d'un citoyen "lorsqu’on vit dans le pays le plus heureux du monde en pleine pandémie de Covid-19, ce qui importe, ce n’est pas le bonheur à court terme, mais c’est le réseau de sécurité sociale et autres systèmes d’aides que le pays a mis en place avant que le problème ne surgisse”.
En Islande : Anticiper pour ne pas se laisser prendre de court – tel semble avoir été le mot d’ordre du gouvernement de Katrín Jakobsdóttir. Lorsque le premier malade est confirmé sur son territoire, le 28 février 2020, l'Islande dépistait déjà depuis un mois, ayant commencé alors que la maladie causée par le coronavirus n’était même pas encore baptisée Covid-19, ni la pandémie déclarée.
Taiwan : Dès le mois de janvier, soit bien avant que l'alerte ne soit lancée à l'échelle mondiale et que l'OMS reconnaisse la transmission humaine du virus, et 21 jours avant la détection du premier cas de personnes contaminées à Taiwan, la présidente Tsai Ing-wen avait imposé 124 mesures fortes pour bloquer l'épidémie.
Allemagne : Dès le 11 mars, la chancelière allemande annonçait sans ambage à ses concitoyens que l'épidémie n'était pas à prendre à la légère, que le virus risquait de contaminer 70% de la population : “La situation est sérieuse, alors prenez-la au sérieux.” C'est ce que les Allemands ont fait, suivant à la lettre les ordres de leur dirigeante. De plus dépistage systématique dès le début. Si on compare les discours d'Angela Merckel et ceux d'Emmanuel Macron, c'est tout en opposition: clarté , simplicité , courte durée pour la Chancelière, pour Jupiter tout le contraire, la première rassure, le deuxième ne rassure pas.
S'il on veut résumer ce qui a fait que leur gestion de la crise ait été gagnante : dépistage précoce, abord empathique, simplicité, clairvoyance, réactivité , anticipation , détermination, proximité avec la population, enfin discours à la fois rassurant sans esbrouffe et sans parler de guerre, avec un discours de vérité, pas d'effets d'annonces de ce qui est impossible à tenir, utilisation des réseaux sociaux.
Vivement que nous ayons une femme à la tête de la France !
Serai je atteint de misandrie ?
“Les droits que nous voulons:
Nous voulons choisir notre mari
Nous voulons être propriétaire de nos terres
Nous voulons aller à l’école
Nous ne voulons plus être excisées
Nous voulons prendre nos propres décisions
Nous voulons être respectées dans le monde de la politique, et en tant que chefs de file.
Nous voulons les mêmes chances” – Rebecca Lolosoli
Rebecca Lolosoli a créé le village de femmes Umoja après avoir été battue pour avoir défendu les victimes de viol au Kenya. Elle continue de se battre pour les droits des femmes.
" Un miracle , comme un pari , cela se prépare, cela se conditionne, cela se mesure, cela se décide, et cela se réalise à force de volonté et de persévérance " Proverbe Ivoirien, tel est le credo des femmes dirigeantes !
SOURCE :
https://www.courrierinternational.com/article/covid-19-la-finlande-le-pays-le-plus-heureux-du-monde-nechappe-pas-la-pandemie
https://information.tv5monde.com/terriennes/covid-19-les-pays-diriges-par-des-femmes-gerent-ils-mieux-la-crise-355335
https://www.nytimes.com/2020/05/15/world/coronavirus-women-leaders.html?smid=tw-nytimes&smtyp=cur
#1MASQUEPOURTOUTES et TOUS
“Les droits que nous voulons:
Nous voulons choisir notre mari
Nous voulons être propriétaire de nos terres
Nous voulons aller à l’école
Nous ne voulons plus être excisées
Nous voulons prendre nos propres décisions
Nous voulons être respectées dans le monde de la politique, et en tant que chefs de file.
Nous voulons les mêmes chances” – Rebecca Lolosoli
Rebecca Lolosoli a créé le village de femmes Umoja après avoir été battue pour avoir défendu les victimes de viol au Kenya. Elle continue de se battre pour les droits des femmes.
" Un miracle , comme un pari , cela se prépare, cela se conditionne, cela se mesure, cela se décide, et cela se réalise à force de volonté et de persévérance " Proverbe Ivoirien, tel est le credo des femmes dirigeantes !
SOURCE :
https://www.courrierinternational.com/article/covid-19-la-finlande-le-pays-le-plus-heureux-du-monde-nechappe-pas-la-pandemie
https://information.tv5monde.com/terriennes/covid-19-les-pays-diriges-par-des-femmes-gerent-ils-mieux-la-crise-355335
https://www.nytimes.com/2020/05/15/world/coronavirus-women-leaders.html?smid=tw-nytimes&smtyp=cur
#1MASQUEPOURTOUTES et TOUS