" Dans l’infantilisation, on retrouve une logique malsaine : plus vous déresponsabilisez les gens, en créant des normes dans tous les sens, en intervenant en permanence pour les préserver y compris contre eux-mêmes, moins ils sont en situation de se débrouiller seuls, plus ils désapprennent la liberté et la responsabilité. Plus l’État intervient, plus il promet, plus il vous déçoit, et plus on le rend responsable de tout." Frédéric Monceau
"Si on avait appliqué ce principe de précaution au moment où l’homme a découvert le feu, on ne l’aurait jamais découvert par peur de mettre le feu à la plaine ou à nos huttes. Il y a dans la science, dans la découverte, dans la dimension entrepreneuriale de la vie, dans le progrès, l’idée qu’il faut prendre des risques, sans qu’ils soient pour autant inconsidérés. Mais le principe de précaution est une maladie de la précaution, une idéologie" Frédéric Monceau
« Face à l’incertitude, tout notre appareil mental est à revoir » P. Langevin
WIKIPEDIA :
L'infantilisation est une attitude consistant à agir envers une personne comme envers un enfant qui serait incapable de se débrouiller seul, de prendre de bonnes décisions ou de juger ce qui est bon pour lui.
La personne ou le système qui infantilise adopte une posture de supériorité vis-à-vis de la personne infantilisée (paternalisme), lui suggère ce qu'elle estime bon pour elle, manifeste une volonté de faire les choses à sa place, lui enseigner sa morale et lui dire comment elle doit penser ou se comporter.
Telle est aujourd'hui et dans un passé récent, depuis le début de la pandémie, l'attitude du gouvernement vis-à-vis de la population, vis-à-vis de nous, plus simplement.
Le Docteur KNOCK a été le premier médecin à utiliser le principe de précaution en décidant que « les gens bien portants sont des malades qui s’ignorent » et en ajoutant « la santé est un état précaire qui ne laisse présager rien de bon… » Alors deux précautions valent mieux qu’une, trois, voir plus,mais elles font obstacles à toute décision raisonnée. Il faut savoir en médecine « prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions » Rudyard Kipling. Le balancement du pendule , le "swinging pendulum" des anglo-saxons en médecine c’est l’exercice au quotidien où nous oscillons entre un choix ou un autre, mais le blocage du mouvement du pendule ou principe de précaution, c’est envisager le pire à chaque instant, est- ce bien raisonnable quand on sait que le pire reste l’ennemi du mieux ?
L'infantilisation de la population imposée par le gouvernement est irrespirable Cette large utilisation du principe de précaution activée par la peur transmise par les autorités ne peut durer, nous devons vivre "intelligemment" avec le virus. Il faut s'adapter en permanence à son évolution et ne pas subir, encore subir. C'est plus difficile de s'adapter au virus que de tout interdire de manière uniforme sans idées fortes et surtout raisonnées.
"Le principe de précaution est une pièce d’un ensemble plus vaste, la précaution. A l’issue de ma réflexion il m’apparaît qu’il ne servirait à rien de se battre pour un principe de précaution
isolé de cet ensemble plus vaste. Bien sûr, cet ensemble ne peut être bâti en quelques jours, et
il faut bien commencer quelque part : le principe de précaution est un bon point de départ. Mais il faut le situer lui-même dans une dynamique : cela le renforcera, cela le fera mieux comprendre, cela créera les conditions d’une spirale vertueuse. Nous sommes à la croisée des chemins, nous pouvons basculer dans une société frileuse, une société du « risque zéro » - mais c’est aussi une société sans avenir, une société littéralement « impossible » ; nous
pouvons au contraire construire une société enfin soucieuse d’avenir, enfin responsabilisée au-delà de la sphère immédiate des effets visibles de ses actions. La réponse repose dans l’exercice personnel que chacun fera de sa liberté, dans l’exercice de ses vertus" (https://hal.univ-lorraine.fr/tel-01751069/document), Thèse de Philosophie : Du principe de précaution à la Philosophie de la précaution : Denis Grison,2006.
Aujourd'hui les autorités nous embarquent dans un avenir sans avenir, sans visibilité alors qu'une des lectures à avoir de la pandémie ,c'est de construire un nouvel avenir. Tel est le projet auquel nous aspirons. Il faut non pas subir la pandémie mais au contraire profiter de la pandémie et en extraire la "substantifique moelle" chère à Rabelais. Il faut arrêter de nous prendre pour des demeurés...........La pandémie a révélé tout ce qui n'allait pas.....Nos responsables politiques n'ont pas encore retenu les leçons ni du passé que l'on veut ré-écrire ni les leçons pour l'avenir où tout est à faire et à écrire......plus simplement anticiper mais attention la "désanticipation" n'est jamais très loin. Le Conseil de Défense pense règler les problèmes, l'état d'urgence sanitaire ne régle par contre rien. Que font les élus, ils n'existent plus, ils sont eux aussi infantilisés........
« Les hommes n'acceptent le changement que dans la nécessité et ils ne voient la nécessité que dans la crise. » Jean Monnet.......espérons qu'ils la verront...et réagirons.
"Si on avait appliqué ce principe de précaution au moment où l’homme a découvert le feu, on ne l’aurait jamais découvert par peur de mettre le feu à la plaine ou à nos huttes. Il y a dans la science, dans la découverte, dans la dimension entrepreneuriale de la vie, dans le progrès, l’idée qu’il faut prendre des risques, sans qu’ils soient pour autant inconsidérés. Mais le principe de précaution est une maladie de la précaution, une idéologie" Frédéric Monceau
« Face à l’incertitude, tout notre appareil mental est à revoir » P. Langevin
WIKIPEDIA :
L'infantilisation est une attitude consistant à agir envers une personne comme envers un enfant qui serait incapable de se débrouiller seul, de prendre de bonnes décisions ou de juger ce qui est bon pour lui.
La personne ou le système qui infantilise adopte une posture de supériorité vis-à-vis de la personne infantilisée (paternalisme), lui suggère ce qu'elle estime bon pour elle, manifeste une volonté de faire les choses à sa place, lui enseigner sa morale et lui dire comment elle doit penser ou se comporter.
Telle est aujourd'hui et dans un passé récent, depuis le début de la pandémie, l'attitude du gouvernement vis-à-vis de la population, vis-à-vis de nous, plus simplement.
le principe de précaution dans sa version officielle est un cas particulier, aux contours bien définis, du principe d’anticipation. L’exercice de la médecine clinique est en permanence gouverné par le principe d’anticipation qui est une forte incitation non seulement à identifier dangers, risques et conséquences de décision, mais également à maintenir, à long terme, une attitude de vigilance. (https://www.cairn.info/la-sante-face-au-principe-de-precaution--9782130577218-page-57.htm)
Jean de Kervasdoué écrit dans son ouvrage les Prêcheurs de l’Apocalypse : « Être prudent, analyser les risques pour tenter de les éviter, constituent de sages conseils ; mais d'avoir fait de la précaution un principe est un drame : il ne s'agit plus de tenter d'analyser des évolutions vraisemblables, compte tenu des informations disponibles, mais d'imaginer l'irréel, l'impensable, sous prétexte que les dommages causés pourraient être importants. » Tout est dit et bien dit. Le principe de précaution appliqué au raisonnement médical ne peut l’être car il s’appuie le plus souvent sur une incertitude plus ou moins faible ce qui est le propre de la science. Ce principe ou nouveau paradigme médical est un non sens qui va à l’encontre de la décision médicale la transformant en "indécision médicale". Saisir de façon précoce les risques face à l’utilisation d’un traitement, oui, mais opposer ces risques à toute décision, non, le risque zéro n’existe pas en médecine. Aujourd'hui de nombreux traitement sont testés, mais ce sont des traitements dont on connaît les effets désirés et indésirables pour les pathologies pour lesquelles ils sont indiquées. C'est ce qu'il fallait faire et progressivement on aboutit à des résultats intéressants, mais on a osé avec raison. Le principe de précaution aurait gelé toute décision. C'est la caricature, j'en conviens mais, cette caricature fait aussi partie de la vie de tous les jours , pas qu'en médecine !
Le Docteur KNOCK a été le premier médecin à utiliser le principe de précaution en décidant que « les gens bien portants sont des malades qui s’ignorent » et en ajoutant « la santé est un état précaire qui ne laisse présager rien de bon… » Alors deux précautions valent mieux qu’une, trois, voir plus,mais elles font obstacles à toute décision raisonnée. Il faut savoir en médecine « prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions » Rudyard Kipling. Le balancement du pendule , le "swinging pendulum" des anglo-saxons en médecine c’est l’exercice au quotidien où nous oscillons entre un choix ou un autre, mais le blocage du mouvement du pendule ou principe de précaution, c’est envisager le pire à chaque instant, est- ce bien raisonnable quand on sait que le pire reste l’ennemi du mieux ?
L'infantilisation de la population imposée par le gouvernement est irrespirable Cette large utilisation du principe de précaution activée par la peur transmise par les autorités ne peut durer, nous devons vivre "intelligemment" avec le virus. Il faut s'adapter en permanence à son évolution et ne pas subir, encore subir. C'est plus difficile de s'adapter au virus que de tout interdire de manière uniforme sans idées fortes et surtout raisonnées.
"Le principe de précaution est une pièce d’un ensemble plus vaste, la précaution. A l’issue de ma réflexion il m’apparaît qu’il ne servirait à rien de se battre pour un principe de précaution
isolé de cet ensemble plus vaste. Bien sûr, cet ensemble ne peut être bâti en quelques jours, et
il faut bien commencer quelque part : le principe de précaution est un bon point de départ. Mais il faut le situer lui-même dans une dynamique : cela le renforcera, cela le fera mieux comprendre, cela créera les conditions d’une spirale vertueuse. Nous sommes à la croisée des chemins, nous pouvons basculer dans une société frileuse, une société du « risque zéro » - mais c’est aussi une société sans avenir, une société littéralement « impossible » ; nous
pouvons au contraire construire une société enfin soucieuse d’avenir, enfin responsabilisée au-delà de la sphère immédiate des effets visibles de ses actions. La réponse repose dans l’exercice personnel que chacun fera de sa liberté, dans l’exercice de ses vertus" (https://hal.univ-lorraine.fr/tel-01751069/document), Thèse de Philosophie : Du principe de précaution à la Philosophie de la précaution : Denis Grison,2006.
Aujourd'hui les autorités nous embarquent dans un avenir sans avenir, sans visibilité alors qu'une des lectures à avoir de la pandémie ,c'est de construire un nouvel avenir. Tel est le projet auquel nous aspirons. Il faut non pas subir la pandémie mais au contraire profiter de la pandémie et en extraire la "substantifique moelle" chère à Rabelais. Il faut arrêter de nous prendre pour des demeurés...........La pandémie a révélé tout ce qui n'allait pas.....Nos responsables politiques n'ont pas encore retenu les leçons ni du passé que l'on veut ré-écrire ni les leçons pour l'avenir où tout est à faire et à écrire......plus simplement anticiper mais attention la "désanticipation" n'est jamais très loin. Le Conseil de Défense pense règler les problèmes, l'état d'urgence sanitaire ne régle par contre rien. Que font les élus, ils n'existent plus, ils sont eux aussi infantilisés........
« Les hommes n'acceptent le changement que dans la nécessité et ils ne voient la nécessité que dans la crise. » Jean Monnet.......espérons qu'ils la verront...et réagirons.
Source
https://www.lamontagne.fr/paris-75000/actualites/la-dynamique-de-linfantilisation-est-dangereuse-pour-tout-le-monde_13908829/
https://medvasc.info/389-le-principe-de-pr%C3%A9caution-en-m%C3%A9decine
https://medvasc.info/389-le-principe-de-pr%C3%A9caution-en-m%C3%A9decine
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