"La faille la plus profonde de ce principe de précaution, son péché originel est un péché d'orgueil. Il laisse croire que l'on pourrait se prémunir de tout." Jean de Kervasdoué
"Quand les présentateurs du journal télévisé parlent d'OGM, j'ai l'impression que Mars attaque" Jean, de Kervasdoué
"Je suis de ceux qui pensent que la science est d'une grande beauté. Un scientifique dans son laboratoire est non seulement un technicien : il est aussi un enfant placé devant des phénomènes naturels qui l'impressionnent comme des contes de fées." Marie Curie
"Quand les présentateurs du journal télévisé parlent d'OGM, j'ai l'impression que Mars attaque" Jean, de Kervasdoué
"Je suis de ceux qui pensent que la science est d'une grande beauté. Un scientifique dans son laboratoire est non seulement un technicien : il est aussi un enfant placé devant des phénomènes naturels qui l'impressionnent comme des contes de fées." Marie Curie
" Quel profit l’homme retire-t-il de toute la peine qu’il se donne sous le soleil ? Une génération s’en va, une génération s’en vient, et la terre subsiste toujours " Ecclésiaste, 1:3-4
Notre monde est -il en danger ? Non si on fait référence à la pandémie actuelle. Non si on fait référence à l'écologie. Les ouvrages de science-fiction annoncent des catastrophes pour les deux........mais c'est de la fiction. Existe-t-il un lien pandémie et écologie, probablement mais il reste à le déterminer précisément....pour l'instant ce ne sont que des intuitions légitimes.......
Pour lutter contre la PANDEMIE nous avons eu besoin de la science,des chercheurs dans le monde entier ont ,et travaillent encore sur la Covid-19, et la SCIENCE créa les vaccins.
L'ECOLOGIE a besoin de la SCIENCE pour enfin exister, mais nul besoin d'un parti politique, nul besoin, de visions cataclysmiques.
Faire avancer l'écologie sur des bases scientifiques est plus que nécessaire.
Faire avancer l'écologie sur des bases scientifiques est plus que nécessaire.
La pandémie a, et véhicule toujours la peur, comme le font les écologistes nous prédisant catastrophes ,sécheresses, manque d'eau etc. Les verts jouent sur le principe de précaution comme le gouvernement actuel le fait avec la pandémie.
La science ne sera jamais un parti politique, comme l'écologie ne doit pas être un parti politique, non aux écologistes politiques er aux "idéologistes". L'écologie doit être uniquement une branche de la science qui agit en tant que telle.
Les bases de la science sont de démontrer en s'appuyant sur des preuves at ainsi évlauer le BENEFICE/RISQUE et le COUT/EFFICACITE.
Mais la science est basée aussi sur le doute.
Il existe à Montréal une Chaire de Cardiolgie Environnementale (Pr François REEVES) , c'est de l'écologie-science. Il devrait avoir dans toutes les universités , dans toutes les disciplines un enseignement de l'écologie-science. Les ingénieurs-écologues existent, c'est un travail de terrain qui doit se développer rapidement de plus en plus. Les métiers de l'environnement , de l'écologie sont multiples, c'est à eux qu'il faut faire confiance.
L'écologie c'est très sérieux, laissons faire les professionnels; les scientifiques, "#scientifier l'écologie", le challenge pour la Loi Climat.
J'ai essayé de lire la Loi Climat.......difficile mais au hasard des lectures "environementales" j'ai noté "Plusieurs groupes français figurent dans le haut du classement publié par le cabinet EcoAct, qui note les groupes du CAC 40, du FTSE 100, du DOW 30 et de l’IBEX 35 sur le reporting de leur stratégie climatique. Mais les entreprises françaises accusent un certain retard en matière d'objectif de neutralité carbone et de recours aux énergies renouvelables." (D Piallot).
Les enjeux principaux .....réalisables ?
Rappelons-nous que "il n'y a que le temps qui dure" Diderot, il faut donner du temps au temps afin que les certitudes augmentent en matière d'écologie et soit applicables au quotidien....mais il est vrai que le temps nous est compté. L'évolution des connaissances ne s'arrêtent jamais, le dogme d'hier est devenu erreur aujourd'hui, la vérité de ce jour est promise à une mort rapide.
"Toute science est un arbre aux feuilles caduques. L'humus qui le nourrit est fait des erreurs enterrées et de vérités à usage unique " Michel Dauzat, à méditer autant pour la pandémie que pour l'écologie.
Source :
https://medvasc.info/1118-doute
http://laphilodeluxe.blogspot.com/2015/10/textes-sur-le-doute.html
https://www.cairn.info/revue-innovations-2003-2-page-27.htm
https://www.studyrama.com/formations/fiches-metiers/environnement-developpement-durable/ingenieur-ecologue-ou-ingenieur-en-environnement-976
Les bases de la science sont de démontrer en s'appuyant sur des preuves at ainsi évlauer le BENEFICE/RISQUE et le COUT/EFFICACITE.
Mais la science est basée aussi sur le doute.
Le doute est venu s'installer parmi nous dès le début de la pandémie. Le doute sur la pandémie, sur le virus , sur ce qui se dit , sur les traitements , sur les vaccins. On en vient à douter de tout. Mais le doute est dans ces moments incertains naturel et compréhensible. Le doute affine le jugement. L'ombre d'un doute est suffisant pour réfléchir, pour aller vers les vérités. C'est nécessaire en temps de pandémie car on ne peut l'appréhender qu'avec le doute et c'est nécessaire pour l'écologie. Trop de certitudes engagent vers de mauvaises voies. Le doute fait partie de toute réflexion. Les certitudes obscurcissent la pensée, le doute illumine la pensée, car le doute nous oblige à penser, à réfléchir, à se poser des questions .La science sans doute n'est pas une science affirmée. Un politique qui ne doute jamais n'est pas en phase avec la réalité.
Le doute emmène vers des certitudes renforcées. Le doute doit être le primum movens de l'écologie, plutôt de la science écologie. Et c'est ainsi que l'on peut avancer sereinement vers des certitudes.
Pourquoi cette distance prises avec les écologistes, car nous avons besoin de l'écologie-science. Le raisonnement des écologistes-politiques ne repose pas sur un raisonnement scientifique et mais encore trop souvent sur l' obscurantisme et sur des incertitudes et des approximations.
Discours d'Alain sur le doute dans Propos "Le doute est le sel de l’esprit : sans la pointe du doute, toutes les connaissances sont bientôt pourries. J’entends aussi bien les connaissances les mieux fondées et les plus raisonnables. Douter quand on s’aperçoit qu’on s’est trompé ou que l’on a été trompé, ce n’est pas difficile : je voudrais même dire que cela n’avance guère ; ce doute forcé est comme une violence qui nous est faite ; aussi c’est un doute triste : c’est un doute de faiblesse ; c’est un regret d’avoir cru, et une confiance trompée. Le vrai c’est qu’il ne faut jamais croire, et qu’il faut examiner toujours. L’incrédulité n’a pas encore donné sa mesure.Croire est agréable. C’est une ivresse dont il faut se priver. Ou alors dites adieu à liberté, à justice, à paix"
Ne pas oublier comme le soulignait Anatole France "doutons même du doute"
Le doute emmène vers des certitudes renforcées. Le doute doit être le primum movens de l'écologie, plutôt de la science écologie. Et c'est ainsi que l'on peut avancer sereinement vers des certitudes.
Pourquoi cette distance prises avec les écologistes, car nous avons besoin de l'écologie-science. Le raisonnement des écologistes-politiques ne repose pas sur un raisonnement scientifique et mais encore trop souvent sur l' obscurantisme et sur des incertitudes et des approximations.
Discours d'Alain sur le doute dans Propos "Le doute est le sel de l’esprit : sans la pointe du doute, toutes les connaissances sont bientôt pourries. J’entends aussi bien les connaissances les mieux fondées et les plus raisonnables. Douter quand on s’aperçoit qu’on s’est trompé ou que l’on a été trompé, ce n’est pas difficile : je voudrais même dire que cela n’avance guère ; ce doute forcé est comme une violence qui nous est faite ; aussi c’est un doute triste : c’est un doute de faiblesse ; c’est un regret d’avoir cru, et une confiance trompée. Le vrai c’est qu’il ne faut jamais croire, et qu’il faut examiner toujours. L’incrédulité n’a pas encore donné sa mesure.Croire est agréable. C’est une ivresse dont il faut se priver. Ou alors dites adieu à liberté, à justice, à paix"
Ne pas oublier comme le soulignait Anatole France "doutons même du doute"
L'édition 2002 du Petit Larousse compact définit l'"écologie" comme la "science qui étudie les relations des êtres vivants avec leur environnement".
Excellente définition.
La figure de l'écologiste, ce "partisan de l'écologisme" familièrement nommé "écolo", se distingue alors de celle de l'"écologue", qui est un "spécialiste de l'écologie".
Enfin, l'unité de base de l'écologie scientifique est l'écosystème ajoute le dictionnaire. La notion de science existe , l'écologie est une science et l'écologue en est le chercheur. Mais l'écologie c'est bien autre chose c'est la peur d'un néant futur, c'est la peur d'un avenir pour lequel on dit tout et n'importe quoi. Il faut dans ce contexte se baser sur de l'objectif, sur la science et non sur l'illusion.
Tout ceci nous amène à l'éco-responsabilité qui est là pour analyser chaque démarche avec la science écologie. La pensée magique, les illusions, les décisions à l'emporte pièce n'ont aucune place dans la science-écologie comme l'absence de raisonnement .C'est comme la pandémie, la science est là pour la décrypter et nous dire ce qui est bon et ce qui ne l'est pas. L'éco-responsabilité, ce serait de mettre au point un score de risque écologique pour tout afin de pouvoir décider quand il faut, quand on peut, quand c'est utile et comment peut-on le faire.
Alors OUI à la science-écologie basée sur un raisonnement scientifique mais NON à ,l'écologie-politique où le raisonnement scientifique est le plus souvent absent. La science-écologie doit s'inscrire dans un vivre logique, dans la faisabilité et non dans l'interdiction ni dans une liste à la Prévert des "impôts-verts".....
La science-écologie n’assène pas des vérités mais décortique des études et fuit les généralisations hâtives. Les scientifiques font de même pour la pandémie.
Ce ne sont pas les croyances qui comptent mais la vérité.
Le dernier livre de Jean de Kravasdoué au titre accrocheur "les écolos nous mentent" fait le point de l'écologie-scientifique juste au moment du débat sur la loi Climat , coincidence ?. Il ne résout rien mais ouvre des portes. J'ai eu l'occasion de travailler avec Jean de Keravasdoué et son équipe durant 1 quand il dirigeait la "SANESCO". Nous avions évalué alors l'Angiologie et rédigé un livre Blanc "Profession Angiologue " en 1999. J'ai pu apprécier sa rigueur scientifique, son enthousiasme et ses nouvelles idées...... permanentes.
Excellente définition.
La figure de l'écologiste, ce "partisan de l'écologisme" familièrement nommé "écolo", se distingue alors de celle de l'"écologue", qui est un "spécialiste de l'écologie".
Enfin, l'unité de base de l'écologie scientifique est l'écosystème ajoute le dictionnaire. La notion de science existe , l'écologie est une science et l'écologue en est le chercheur. Mais l'écologie c'est bien autre chose c'est la peur d'un néant futur, c'est la peur d'un avenir pour lequel on dit tout et n'importe quoi. Il faut dans ce contexte se baser sur de l'objectif, sur la science et non sur l'illusion.
Tout ceci nous amène à l'éco-responsabilité qui est là pour analyser chaque démarche avec la science écologie. La pensée magique, les illusions, les décisions à l'emporte pièce n'ont aucune place dans la science-écologie comme l'absence de raisonnement .C'est comme la pandémie, la science est là pour la décrypter et nous dire ce qui est bon et ce qui ne l'est pas. L'éco-responsabilité, ce serait de mettre au point un score de risque écologique pour tout afin de pouvoir décider quand il faut, quand on peut, quand c'est utile et comment peut-on le faire.
Alors OUI à la science-écologie basée sur un raisonnement scientifique mais NON à ,l'écologie-politique où le raisonnement scientifique est le plus souvent absent. La science-écologie doit s'inscrire dans un vivre logique, dans la faisabilité et non dans l'interdiction ni dans une liste à la Prévert des "impôts-verts".....
La science-écologie n’assène pas des vérités mais décortique des études et fuit les généralisations hâtives. Les scientifiques font de même pour la pandémie.
Ce ne sont pas les croyances qui comptent mais la vérité.
Le dernier livre de Jean de Kravasdoué au titre accrocheur "les écolos nous mentent" fait le point de l'écologie-scientifique juste au moment du débat sur la loi Climat , coincidence ?. Il ne résout rien mais ouvre des portes. J'ai eu l'occasion de travailler avec Jean de Keravasdoué et son équipe durant 1 quand il dirigeait la "SANESCO". Nous avions évalué alors l'Angiologie et rédigé un livre Blanc "Profession Angiologue " en 1999. J'ai pu apprécier sa rigueur scientifique, son enthousiasme et ses nouvelles idées...... permanentes.
Il existe à Montréal une Chaire de Cardiolgie Environnementale (Pr François REEVES) , c'est de l'écologie-science. Il devrait avoir dans toutes les universités , dans toutes les disciplines un enseignement de l'écologie-science. Les ingénieurs-écologues existent, c'est un travail de terrain qui doit se développer rapidement de plus en plus. Les métiers de l'environnement , de l'écologie sont multiples, c'est à eux qu'il faut faire confiance.
L'écologie c'est très sérieux, laissons faire les professionnels; les scientifiques, "#scientifier l'écologie", le challenge pour la Loi Climat.
J'ai essayé de lire la Loi Climat.......difficile mais au hasard des lectures "environementales" j'ai noté "Plusieurs groupes français figurent dans le haut du classement publié par le cabinet EcoAct, qui note les groupes du CAC 40, du FTSE 100, du DOW 30 et de l’IBEX 35 sur le reporting de leur stratégie climatique. Mais les entreprises françaises accusent un certain retard en matière d'objectif de neutralité carbone et de recours aux énergies renouvelables." (D Piallot).
Les enjeux principaux .....réalisables ?
Rappelons-nous que "il n'y a que le temps qui dure" Diderot, il faut donner du temps au temps afin que les certitudes augmentent en matière d'écologie et soit applicables au quotidien....mais il est vrai que le temps nous est compté. L'évolution des connaissances ne s'arrêtent jamais, le dogme d'hier est devenu erreur aujourd'hui, la vérité de ce jour est promise à une mort rapide.
"Toute science est un arbre aux feuilles caduques. L'humus qui le nourrit est fait des erreurs enterrées et de vérités à usage unique " Michel Dauzat, à méditer autant pour la pandémie que pour l'écologie.
Source :
https://medvasc.info/1118-doute
http://laphilodeluxe.blogspot.com/2015/10/textes-sur-le-doute.html
https://www.cairn.info/revue-innovations-2003-2-page-27.htm
https://www.studyrama.com/formations/fiches-metiers/environnement-developpement-durable/ingenieur-ecologue-ou-ingenieur-en-environnement-976