"Rien n’est plus difficile à prédire que l’avenir" Yogi Berra
SCORE2 risk prediction algorithms: newmodels to estimate 10-year risk of cardiovascular disease in Europe. SCORE2 working group and ESC Cardiovascular risk collaboration (40 to 69 years old) European Heart Journal (2021) 00, 1–16 (https://academic.oup.com/eurheartj/advance-article/doi/10.1093/eurheartj/ehab309/6297709)
Algorithmes de prédiction du risque SCORE2 : de nouveaux modèles pour estimer le risque de maladie cardiovasculaire à 10 ans en Europe
SCORE2-OP risk prediction algorithms: estimating incident cardiovascular event risk in
older persons in four geographical risk regions SCORE2-OP working group and ESC Cardiovascular risk collaboration (> 70 years old) ,European Heart Journal (2021) 00, 1–13, (https://academic.oup.com/eurheartj/advance-article/doi/10.1093/eurheartj/ehab312/6297711
De l'échelle SCORE nous entrons dans l'ère de SCORE 2.
Le but de cette étude a été de développer, valider et illustrer un modèle de prédiction mis à jour (SCORE2) pour estimer le risque de maladie cardiovasculaire (MCV) mortelle et non mortelle sur 10 ans chez les personnes sans antécédents de maladie cardiovasculaire ou de diabète âgés de 40 à 69 ans et 70 ans et plus en Europe.
Méthodes et résultats
Des modèles de prédiction du risque ont été dérivé en utilisant les données des participants individuels de 45 cohortes dans 13 pays (677 684 personnes, 30 121 événements cardiovasculaires).
Des modèles ajustés ont été dérivé au risque spécifiques au sexe y compris l'âge, le statut tabagique, la pression artérielle systolique et le cholestérol total et HDL.
Quatre régions à risque en Europe ont été définies en fonction de la mortalité par maladie cardiovasculaire (MCV) spécifique au pays, en recalibrant les modèles pour chaque région en utilisant les incidences attendues et les distributions des facteurs de risque.
L'incidence spécifique à la région a été estimée à l'aide des données sur la mortalité et l'incidence des MCV sur 10 776 466 personnes. Pour la validation externe, ont été analysé les données de 25 cohortes supplémentaires dans 15 pays européens (1 133 181 individus, 43 492 événements cardiovasculaires).
Après avoir appliqué les modèles de prédiction des risques dérivés aux cohortes de validation externe, les indices C (C-index is a generalization of the area under the ROC curve (AUC)) allaient de 0,67 (0,65-0,68) à 0,81 (0,76-0,86). Le risque de MCV prévu variait plusieurs fois selon les régions européennes. Par exemple, le risque de MCV estimé à 10 ans pour un fumeur de 50 ans, avec une pression artérielle systolique de 140 mmHg, un cholestérol total de 5,5 mmol/L et un HDL-cholestérol de 1,3 mmol/L, variait de 5,9 % pour les hommes dans les pays à faible risque à 14,0 % pour les hommes dans les pays à très haut risque, et de 4,2 % pour les femmes dans les pays à faible risque à 13,7 % pour les femmes dans les pays à très haut risque.
La France est dans le VERT, pays à faible rique
Les 4 régions européenes ainsi définies par SCORE2 montre des différences en terme de risque cardio vasculaire très important selon que l'on soit en France, ou Danemark par rapport à la Russie par exemple.
SYNTHESE SCORE2 : application pratique ( 40 à 69 ans)
SYNTHESE SCORE2-OP : application pratique ( > 70 ans)
Entre ces deux situation le risque augmente, mais le LOW RISK est pour les persones de 75 ans à 14% ,alors qu'li était à 4.2 % à 50 ans, ce 14% pour les personnes de 75 ans équivaut à un risque élévé à 13% pour une personne de 50 ans , ce qui est tout à fait différent, lâge est un facteur de risque cardiovasculaire très significatif.
Contre proposition : échelle suisse GSLA ou le "NUDGING" efficace
Le GSLA promeut la prévention primaire et secondaire ainsi que le traitement optimal de l’athérosclérose et de l’athérothrombose en Suisse. Le calculateur de risque du GSLA permet de calculer le risque absolu de survenue d’un événement coronarien mortel ou d’un infarctus du myocarde non mortel sur 10 ans.
Voici tout d'abord le calculateur puis nous intégrerons les données de l'exemple ci dessus du calcul GSLA , la Suisse et la France étant clasées comme pays à faible risque
Explications sur le calculateur de risque du GSLA ( https://www.agla.ch/fr/calculateurs-outils/calculateur-de-risque-du-gsla)
Pour les personnes qui n’entrent pas d’office dans la catégorie « Risque très élevé » ou « Risque élevé » (voir ci-dessous), le calculateur permet de calculer le risque absolu (en %) de survenue d’un événement coronarien mortel ou un infarctus du myocarde non mortel sur 10 ans. Pour pouvoir calculer le risque, toutes les informations sont exigées. Veuillez donc remplir tous les champs. Les taux de LDL, HDL et triglycérides doivent être exprimés en mmol/l. Notez que les valeurs chiffrées saisies ne sont acceptées que dans la mesure où elles se situent dans les fourchettes indiquées ; les valeurs chiffrées trop élevées ou trop faibles seront automatiquement assimilées à la valeur maximale ou minimale du paramètre en question
CATÉGORIE « RISQUE ÉLEVÉ »
Forte augmentation de certains facteurs de risque :
LDL-C > 4.9 mmol/l
PA > 180/110 mmHg
DFG 30-59 ml/min/1.73 m
CATÉGORIE « RISQUE TRÈS ÉLEVÉ »
Maladie coronarienne/athérosclérose connues
Diabète de type 2 ; diabète de type 1 avec atteinte des organes cibles telle que microalbuminurie
DFG < 30 ml/min/1.73 m2
Exemple femme de 50 ans
Exemple femme de 75 ans
Entre 50 ans et 75 ans chez un femme le risque augmente mais reste classé faible comme pour SCORE2
Alors quelle est la différence ? SCORE 2 et SCORE GSLA sont deux méthodolgies différentes. Pour SCORE 2 l'échelle est pédagogique, en effet si la ou,le patient arrête de fumer, et stabilise sa dyslipidémie le score va se modifier dans le bons sens et il est important de lui montrer. L'échelle GSLA est plus compléte mais en prenant les valeurs décrites dans SCORE 1 on arrive au même résultat : risque faible. Cepandant à la différence de SCORE 2, d'autres paramètres interviennent , le diabéte, les atcds CV familiaux avant 60 ans .Vous me direz SCORE 2 c'est de la PREVENTION PRIMAIRE et GSLA c'est de la PREVENTION PRIMAIRE, mais aussi SECONDAIRE donc inutile car on sait que le diabète c'est d'emblée un sujet à haut risque CV . Si l' évaluation par SCORE2 est excellente en plus selon le pays dans le quel on vit l'échelle GSLA assure une double entrée par la prévention secondaire. Ceci est important car dire à un patient daibétique qu'il est sur en risque CV oui, mais ce n'est pas suffisant et l'effet NUDGE alors devient nécessaire, le coup de pouce incitatif. Il faut réaliser le recueil des données du questionnaire avec le patient , si il est diabètique noter non daibétique , son score apparait , puis on rajoute diabétique et le score devient défavorable. Cela lui monte l'impact souvent ignoré du diabète sur le risque CV. etc., on peut agir ainsi avec tous les paramètres.
Le but de la manoeuvre, l'effet NUDGE : c' est un « coup de pouce » ou bien une « incitation douce » ou encore une « suggestion indirecte » donné à un individu, utilisateur ou consommateur, pour modifier son comportement. C’est une technique d’influence qui est de plus en plus utilisée par les entreprises ou les institutions publiques pour faire changer un comportement et donc notamment en médecine. Les échelles de risque CV doivent devenir un outil pour faire changer de vie au patient sans le contraindre, en l'informant correctement et avec astuce, libre à lui ensuite de faire ou de ne pas faire. Les échelles de risque CV doivent être utilisée avec la collaboration du patient en temps réel, SCORE2 ou GSLA.
Il ne s'agit pas d'opposer SCORE, SCORE2 et l'échelle GSLA : il suffit des les utiliser, l'un ou l'autre , mais ce qui est important c'est d'associer les patients à ces évaluations afin de sensibiliser le patient à son risque CV PRIMAIRE mais aussi SECONDAIRE dans un but pédagogique. Il faut lui montrer que rien n'est définitif et qu'une amélioration est toujours possible si il respecte les conseils et qu'il suit le traitement. L'échelle GSLA est plus didactique et compréhensible pour les patients, de plus l"impressuin d'un document de synthèse est apprécié des patients. Les petits carrés de couleurs de SCORE2 ne sont pas toujours bien compris par les patients.
Algorithmes de prédiction du risque SCORE2 : de nouveaux modèles pour estimer le risque de maladie cardiovasculaire à 10 ans en Europe
SCORE2-OP risk prediction algorithms: estimating incident cardiovascular event risk in
older persons in four geographical risk regions SCORE2-OP working group and ESC Cardiovascular risk collaboration (> 70 years old) ,European Heart Journal (2021) 00, 1–13, (https://academic.oup.com/eurheartj/advance-article/doi/10.1093/eurheartj/ehab312/6297711
De l'échelle SCORE nous entrons dans l'ère de SCORE 2.
Le but de cette étude a été de développer, valider et illustrer un modèle de prédiction mis à jour (SCORE2) pour estimer le risque de maladie cardiovasculaire (MCV) mortelle et non mortelle sur 10 ans chez les personnes sans antécédents de maladie cardiovasculaire ou de diabète âgés de 40 à 69 ans et 70 ans et plus en Europe.
Méthodes et résultats
Des modèles de prédiction du risque ont été dérivé en utilisant les données des participants individuels de 45 cohortes dans 13 pays (677 684 personnes, 30 121 événements cardiovasculaires).
Des modèles ajustés ont été dérivé au risque spécifiques au sexe y compris l'âge, le statut tabagique, la pression artérielle systolique et le cholestérol total et HDL.
Quatre régions à risque en Europe ont été définies en fonction de la mortalité par maladie cardiovasculaire (MCV) spécifique au pays, en recalibrant les modèles pour chaque région en utilisant les incidences attendues et les distributions des facteurs de risque.
L'incidence spécifique à la région a été estimée à l'aide des données sur la mortalité et l'incidence des MCV sur 10 776 466 personnes. Pour la validation externe, ont été analysé les données de 25 cohortes supplémentaires dans 15 pays européens (1 133 181 individus, 43 492 événements cardiovasculaires).
Après avoir appliqué les modèles de prédiction des risques dérivés aux cohortes de validation externe, les indices C (C-index is a generalization of the area under the ROC curve (AUC)) allaient de 0,67 (0,65-0,68) à 0,81 (0,76-0,86). Le risque de MCV prévu variait plusieurs fois selon les régions européennes. Par exemple, le risque de MCV estimé à 10 ans pour un fumeur de 50 ans, avec une pression artérielle systolique de 140 mmHg, un cholestérol total de 5,5 mmol/L et un HDL-cholestérol de 1,3 mmol/L, variait de 5,9 % pour les hommes dans les pays à faible risque à 14,0 % pour les hommes dans les pays à très haut risque, et de 4,2 % pour les femmes dans les pays à faible risque à 13,7 % pour les femmes dans les pays à très haut risque.
La France est dans le VERT, pays à faible rique
Les 4 régions européenes ainsi définies par SCORE2 montre des différences en terme de risque cardio vasculaire très important selon que l'on soit en France, ou Danemark par rapport à la Russie par exemple.
SYNTHESE SCORE2 : application pratique ( 40 à 69 ans)
SYNTHESE SCORE2-OP : application pratique ( > 70 ans)
Entre ces deux situation le risque augmente, mais le LOW RISK est pour les persones de 75 ans à 14% ,alors qu'li était à 4.2 % à 50 ans, ce 14% pour les personnes de 75 ans équivaut à un risque élévé à 13% pour une personne de 50 ans , ce qui est tout à fait différent, lâge est un facteur de risque cardiovasculaire très significatif.
Contre proposition : échelle suisse GSLA ou le "NUDGING" efficace
Le GSLA promeut la prévention primaire et secondaire ainsi que le traitement optimal de l’athérosclérose et de l’athérothrombose en Suisse. Le calculateur de risque du GSLA permet de calculer le risque absolu de survenue d’un événement coronarien mortel ou d’un infarctus du myocarde non mortel sur 10 ans.
Voici tout d'abord le calculateur puis nous intégrerons les données de l'exemple ci dessus du calcul GSLA , la Suisse et la France étant clasées comme pays à faible risque
Explications sur le calculateur de risque du GSLA ( https://www.agla.ch/fr/calculateurs-outils/calculateur-de-risque-du-gsla)
Pour les personnes qui n’entrent pas d’office dans la catégorie « Risque très élevé » ou « Risque élevé » (voir ci-dessous), le calculateur permet de calculer le risque absolu (en %) de survenue d’un événement coronarien mortel ou un infarctus du myocarde non mortel sur 10 ans. Pour pouvoir calculer le risque, toutes les informations sont exigées. Veuillez donc remplir tous les champs. Les taux de LDL, HDL et triglycérides doivent être exprimés en mmol/l. Notez que les valeurs chiffrées saisies ne sont acceptées que dans la mesure où elles se situent dans les fourchettes indiquées ; les valeurs chiffrées trop élevées ou trop faibles seront automatiquement assimilées à la valeur maximale ou minimale du paramètre en question
CATÉGORIE « RISQUE ÉLEVÉ »
Forte augmentation de certains facteurs de risque :
LDL-C > 4.9 mmol/l
PA > 180/110 mmHg
DFG 30-59 ml/min/1.73 m
CATÉGORIE « RISQUE TRÈS ÉLEVÉ »
Maladie coronarienne/athérosclérose connues
Diabète de type 2 ; diabète de type 1 avec atteinte des organes cibles telle que microalbuminurie
DFG < 30 ml/min/1.73 m2
Exemple femme de 50 ans
Exemple femme de 75 ans
Entre 50 ans et 75 ans chez un femme le risque augmente mais reste classé faible comme pour SCORE2
Alors quelle est la différence ? SCORE 2 et SCORE GSLA sont deux méthodolgies différentes. Pour SCORE 2 l'échelle est pédagogique, en effet si la ou,le patient arrête de fumer, et stabilise sa dyslipidémie le score va se modifier dans le bons sens et il est important de lui montrer. L'échelle GSLA est plus compléte mais en prenant les valeurs décrites dans SCORE 1 on arrive au même résultat : risque faible. Cepandant à la différence de SCORE 2, d'autres paramètres interviennent , le diabéte, les atcds CV familiaux avant 60 ans .Vous me direz SCORE 2 c'est de la PREVENTION PRIMAIRE et GSLA c'est de la PREVENTION PRIMAIRE, mais aussi SECONDAIRE donc inutile car on sait que le diabète c'est d'emblée un sujet à haut risque CV . Si l' évaluation par SCORE2 est excellente en plus selon le pays dans le quel on vit l'échelle GSLA assure une double entrée par la prévention secondaire. Ceci est important car dire à un patient daibétique qu'il est sur en risque CV oui, mais ce n'est pas suffisant et l'effet NUDGE alors devient nécessaire, le coup de pouce incitatif. Il faut réaliser le recueil des données du questionnaire avec le patient , si il est diabètique noter non daibétique , son score apparait , puis on rajoute diabétique et le score devient défavorable. Cela lui monte l'impact souvent ignoré du diabète sur le risque CV. etc., on peut agir ainsi avec tous les paramètres.
Le but de la manoeuvre, l'effet NUDGE : c' est un « coup de pouce » ou bien une « incitation douce » ou encore une « suggestion indirecte » donné à un individu, utilisateur ou consommateur, pour modifier son comportement. C’est une technique d’influence qui est de plus en plus utilisée par les entreprises ou les institutions publiques pour faire changer un comportement et donc notamment en médecine. Les échelles de risque CV doivent devenir un outil pour faire changer de vie au patient sans le contraindre, en l'informant correctement et avec astuce, libre à lui ensuite de faire ou de ne pas faire. Les échelles de risque CV doivent être utilisée avec la collaboration du patient en temps réel, SCORE2 ou GSLA.
Il ne s'agit pas d'opposer SCORE, SCORE2 et l'échelle GSLA : il suffit des les utiliser, l'un ou l'autre , mais ce qui est important c'est d'associer les patients à ces évaluations afin de sensibiliser le patient à son risque CV PRIMAIRE mais aussi SECONDAIRE dans un but pédagogique. Il faut lui montrer que rien n'est définitif et qu'une amélioration est toujours possible si il respecte les conseils et qu'il suit le traitement. L'échelle GSLA est plus didactique et compréhensible pour les patients, de plus l"impressuin d'un document de synthèse est apprécié des patients. Les petits carrés de couleurs de SCORE2 ne sont pas toujours bien compris par les patients.
SCORE 2 n'a pas été évalué dans des populations non européennes, sa valeur dans de tels contextes n'est pas entièrement connue. Enfin, d'autres études devraient évaluer la valeur de la prédiction du risque à plus long terme (en particulier chez les individus plus jeunes), mais les données disponibles étaient insuffisantes pour évaluer cette possibilité.
MAIS demain et même déja aujourd'hui l'évaluation du du risque CV PRIMAIRE est possible par l'Intelligence Articielle (IA) , c'est une réalité.
MAIS demain et même déja aujourd'hui l'évaluation du du risque CV PRIMAIRE est possible par l'Intelligence Articielle (IA) , c'est une réalité.
L'étude SCAPIS : Combinaison des données du scanner coronaire à l’intelligence artificielle pour améliorer la prévention cardiovasculaire primaire (https://www.cardio-online.fr/Actualites/A-la-une/AHA-2020-SCAPIS). Etrude présentée à l'AHA 2020 par Göran Bergström, "Prevalence and Prediction of Coronary Artery Disease in the General Population- Results From the Swedish Cardiopulmonary Bioimage Study (scapis)".
Élaborer des stratégies de prévention cardiovasculaire efficaces reste un enjeu majeur dans nos sociétés. C’est l’une des grandes ambitions suédoises au travers de l’étude SCAPIS qui s’attache à constituer une impressionnante cohorte dans la population générale avec « bioimaging Banking ». (sur ce BLOG : https://medvasc.info/1278-ia-et-m%C3%A9decine)
Mais aussi une IA peut permettre de prédire le risque CV en examinant l'oeil.
Des chercheurs de Verily, la filiale santé d'Alphabet (la maison mère deGoogle) ont créé un programme informatique capable de prédire les risques de maladies cardiaques en analysant une image de la rétine (https://www-nature-com.proxy.insermbiblio.inist.fr/articles/s41551-018-0195-0 et( https://medvasc.info/1278-ia-et-m%C3%A9decine)
Mais aussi une IA peut permettre de prédire le risque CV en examinant l'oeil.
Des chercheurs de Verily, la filiale santé d'Alphabet (la maison mère deGoogle) ont créé un programme informatique capable de prédire les risques de maladies cardiaques en analysant une image de la rétine (https://www-nature-com.proxy.insermbiblio.inist.fr/articles/s41551-018-0195-0 et( https://medvasc.info/1278-ia-et-m%C3%A9decine)
Enfin demain, le "RESTE à VIVRE" , "risque" d'être évalué par lA dès 50 ans puis après aprés demain....... dès la naissance mais ça c'est une autre histoire....de science - fiction, pour l'instant.
#VACCINE2.0