“Il n'y a de sorcellerie que là où l'on y croit, n'y croyez plus et il n'y en aura plus.”Balthasar Bekker
"Ne soyez pas sorcier ; mais si vous l'êtes, faites votre métier." Victor Hugo
"L'homme joue à l'apprenti sorcier avec cette terre qu'il connaît si mal." Serge Lapisse
Vladimir Poutine ( Homo Raspoutinius) et maintenant Donald Trump (Homo Geronimius) veulent tester directement des vaccins contre la Covid-19 sans passer par la phase 3.
"Ne soyez pas sorcier ; mais si vous l'êtes, faites votre métier." Victor Hugo
"L'homme joue à l'apprenti sorcier avec cette terre qu'il connaît si mal." Serge Lapisse
Vladimir Poutine ( Homo Raspoutinius) et maintenant Donald Trump (Homo Geronimius) veulent tester directement des vaccins contre la Covid-19 sans passer par la phase 3.
Attention DANGER, ne jouez pas aux apprentis sorciers avec vos congénères. C'est interdit, c'est à haut risque, et en plus ce n'est pas éthique. On a déjà Didier Raoult (Homo Parcelsius) qui fait fît de toute règle en matière d'essais thérapeutiques, ça suffit ! Ce virus fait faire n'importe quoi aux médecins, aux autorités etc. La Planète est sans dessus dessous. On veut aller trop vite depuis le début de la pandémie, résultat on est au point mort, 7 mois après le début de la pandémie. Nous sommes devenus des observateurs passifs de l'ONU c'est à dire malgrè nos connaissances et "nos pouvoirs" impuissants et sans ressources. Comment un virus peut il être à l'origine d'un tel chaos en 2020 ? Finalement avec notre savoir, notre évolution, on ne fait pas mieux que nos ancêtres face à la pandémie, dont on sait théoriquement qu'elle est appelée à disparaître, mais quand ? Raspoutinius, Jeronimius et Paracelsius doivent garder leur sang froid, éviter de faire n'importe quoi y compris le pire.
Un vaccin n'est pas une arme de propagande, c'est un médicament.
La magie et la sorcellerie, certains d’entre nous les considèrent comme des superstitions risibles, d’autres y croient, beaucoup hésitent. Mais y croire a mauvaise réputation auprès des esprits forts: les croyances, c’était bon pour nos ancêtres et surtout à la campagne, ou c’est encore bon pour les pays en voie de développement en tout cas pas chez nous, pas aujourd’hui et certainement pas en ville. Pourtant l’observation des comportements de nos contemporains montre que les progrès de la science n’ont pas marqué la fin des mystères et des croyances, ni dans la France post-industrielle ni ailleurs. Souvent impuissants face au malheur, la souffrance, l’angoisse, les hommes ne se contentent pas des réponses apportées par la science. Celle-ci laisse une place apparemment irréductible à d’autres principes et d’autres systèmes de représentation du monde. C'est ce qui arrive aujourd'hui, la peur engendrée par le virus fait disparaître tout raisonnement et tout contrôle de soi- même. C'est pourquoi les autorités dans ce contexte sont amenées à faire n'importe quoi, un peu partout dans le monde et notamment en France.
Bien entendu tout ceci ne nous concerne pas, mais quand même, la quête du vaccin à tout prix et au prix fort s'apparente à la quête du Graal, que rien ne pourrait contre-carrer.Le Graal est un objet important dans la légende d'Arthur et de ses chevaliers. Ils vont tous essayer de prendre le Graal. Le raison est simple : celui qui possède le Graal peut survivre jusqu'à la fin des temps. Le Graal a ce pouvoir car des gouttes de sang du Christ se trouveraient dedans, en quelque sorte un vaccin !!!!!!!! L'Europe devrait piloter la conception du vaccin comme les chevaliers de la table ronde et leur quête du Graal.
Alors du calme , la recherche pour la mise point d'un vaccin ne se fait pas en quelques mois. Il faut respecter les protocoles établis et s'en tenir là.
En attendant point de sorcellerie mais respect des gestes barrières et port du masque et ça,............ça marche.
J.W. Goethe ! L'éléve sorcier
Le vieux maître est enfin sorti, et je prétends que ses génies fassent aussi ma volonté. J’ai bien remarqué les signes et les paroles qu’il emploie, et j’aurai bien la hardiesse de faire comme lui des miracles.
« Allons ! allons ! vite à l’ouvrage : que l’eau coule dans ce bassin, et qu’on me l’emplisse jusqu’aux bords ! »
« Approche donc, vieux balai : prends-moi ces haillons ; depuis longtemps, tu es fait au service, et tu te soumettras aisément à devenir mon valet. Tiens-toi debout sur deux jambes, lève la tête, et va vite, va donc ! me chercher de l’eau dans ce vase. »
« Allons ! allons ! vite à l’ouvrage : que l’eau coule dans ce bassin, et qu’on me l’emplisse jusqu’aux bords ! »
"Tiens ! le voilà qui court au rivage !… Vraiment, il est au bord de l’eau !… Et puis il revient accomplir mon ordre avec la vitesse de l’éclair !… Une seconde fois ! Comme le bassin se remplit ! comme les vases vont et viennent bien sans répandre !
« Attends donc ! attends donc ! ta tâche est accomplie ! » Hélas ! mon Dieu ! mon Dieu !… j’ai oublié les paroles magiques ! »
Ah ! ce mot, il était à la fin, je crois ; mais quel était-il ? Le voilà qui revient de nouveau ! « Cesseras-tu, vieux balai ?… » Toujours de nouvelle eau qu’il apporte plus vite encore !… Hélas ! quelle inondation me menace !
Non, je ne puis plus y tenir… Il faut que je l’arrête… Ah ! l’effroi me gagne !… Mais quel geste, quel regard me faut-il employer ?
« Envoyé de l’enfer, veux-tu donc noyer toute la maison ? Ne vois-tu pas que l’eau se répand partout à grands flots ? » Un imbécile de balai qui ne comprend rien ! « Mais, bâton que tu es, demeure donc en repos ! »
« Tu ne veux pas t’arrêter, à la fin !…Je vais, pour t’apprendre, saisir une hache, et te fendre en deux ! »
Voyez-vous qu’il y revient encore ! « Comme je vais me jeter sur toi, et te faire tenir tranquille !… « Oh ! oh ! ce vieux bâton se fend en craquant !… C’est vraiment bien fait : le voici en deux, et, maintenant, je puis espérer qu’il me laissera tranquille.
Mon Dieu ! mon Dieu ! les deux morceaux se transforment en valets droits et agiles !… Au secours, puissance divine !
Comme ils courent ! Salle, escaliers, tout est submergé ! Quelle inondation !… Ô mon seigneur et maître, venez donc à mon aide !… Ah ! le voilà qui vient ! « Maître, sauvez-moi du danger : j’ai osé évoquer vos esprits, et je ne puis plus les retenir ».
« Balai ! balai ! à ton coin ! et vous, esprits, n’obéissez désormais qu’au maître habile, qui vous fait servir à ses vastes desseins. »
La magie et la sorcellerie, certains d’entre nous les considèrent comme des superstitions risibles, d’autres y croient, beaucoup hésitent. Mais y croire a mauvaise réputation auprès des esprits forts: les croyances, c’était bon pour nos ancêtres et surtout à la campagne, ou c’est encore bon pour les pays en voie de développement en tout cas pas chez nous, pas aujourd’hui et certainement pas en ville. Pourtant l’observation des comportements de nos contemporains montre que les progrès de la science n’ont pas marqué la fin des mystères et des croyances, ni dans la France post-industrielle ni ailleurs. Souvent impuissants face au malheur, la souffrance, l’angoisse, les hommes ne se contentent pas des réponses apportées par la science. Celle-ci laisse une place apparemment irréductible à d’autres principes et d’autres systèmes de représentation du monde. C'est ce qui arrive aujourd'hui, la peur engendrée par le virus fait disparaître tout raisonnement et tout contrôle de soi- même. C'est pourquoi les autorités dans ce contexte sont amenées à faire n'importe quoi, un peu partout dans le monde et notamment en France.
Bien entendu tout ceci ne nous concerne pas, mais quand même, la quête du vaccin à tout prix et au prix fort s'apparente à la quête du Graal, que rien ne pourrait contre-carrer.Le Graal est un objet important dans la légende d'Arthur et de ses chevaliers. Ils vont tous essayer de prendre le Graal. Le raison est simple : celui qui possède le Graal peut survivre jusqu'à la fin des temps. Le Graal a ce pouvoir car des gouttes de sang du Christ se trouveraient dedans, en quelque sorte un vaccin !!!!!!!! L'Europe devrait piloter la conception du vaccin comme les chevaliers de la table ronde et leur quête du Graal.
Alors du calme , la recherche pour la mise point d'un vaccin ne se fait pas en quelques mois. Il faut respecter les protocoles établis et s'en tenir là.
En attendant point de sorcellerie mais respect des gestes barrières et port du masque et ça,............ça marche.
J.W. Goethe ! L'éléve sorcier
Le vieux maître est enfin sorti, et je prétends que ses génies fassent aussi ma volonté. J’ai bien remarqué les signes et les paroles qu’il emploie, et j’aurai bien la hardiesse de faire comme lui des miracles.
« Allons ! allons ! vite à l’ouvrage : que l’eau coule dans ce bassin, et qu’on me l’emplisse jusqu’aux bords ! »
« Approche donc, vieux balai : prends-moi ces haillons ; depuis longtemps, tu es fait au service, et tu te soumettras aisément à devenir mon valet. Tiens-toi debout sur deux jambes, lève la tête, et va vite, va donc ! me chercher de l’eau dans ce vase. »
« Allons ! allons ! vite à l’ouvrage : que l’eau coule dans ce bassin, et qu’on me l’emplisse jusqu’aux bords ! »
"Tiens ! le voilà qui court au rivage !… Vraiment, il est au bord de l’eau !… Et puis il revient accomplir mon ordre avec la vitesse de l’éclair !… Une seconde fois ! Comme le bassin se remplit ! comme les vases vont et viennent bien sans répandre !
« Attends donc ! attends donc ! ta tâche est accomplie ! » Hélas ! mon Dieu ! mon Dieu !… j’ai oublié les paroles magiques ! »
Ah ! ce mot, il était à la fin, je crois ; mais quel était-il ? Le voilà qui revient de nouveau ! « Cesseras-tu, vieux balai ?… » Toujours de nouvelle eau qu’il apporte plus vite encore !… Hélas ! quelle inondation me menace !
Non, je ne puis plus y tenir… Il faut que je l’arrête… Ah ! l’effroi me gagne !… Mais quel geste, quel regard me faut-il employer ?
« Envoyé de l’enfer, veux-tu donc noyer toute la maison ? Ne vois-tu pas que l’eau se répand partout à grands flots ? » Un imbécile de balai qui ne comprend rien ! « Mais, bâton que tu es, demeure donc en repos ! »
« Tu ne veux pas t’arrêter, à la fin !…Je vais, pour t’apprendre, saisir une hache, et te fendre en deux ! »
Voyez-vous qu’il y revient encore ! « Comme je vais me jeter sur toi, et te faire tenir tranquille !… « Oh ! oh ! ce vieux bâton se fend en craquant !… C’est vraiment bien fait : le voici en deux, et, maintenant, je puis espérer qu’il me laissera tranquille.
Mon Dieu ! mon Dieu ! les deux morceaux se transforment en valets droits et agiles !… Au secours, puissance divine !
Comme ils courent ! Salle, escaliers, tout est submergé ! Quelle inondation !… Ô mon seigneur et maître, venez donc à mon aide !… Ah ! le voilà qui vient ! « Maître, sauvez-moi du danger : j’ai osé évoquer vos esprits, et je ne puis plus les retenir ».
« Balai ! balai ! à ton coin ! et vous, esprits, n’obéissez désormais qu’au maître habile, qui vous fait servir à ses vastes desseins. »