"Je me révolte, donc je suis." et "Ce n'est pas la révolte en elle-même qui est noble, mais ce qu'elle exige." Albert Camus
“Il n'y a que deux attitudes : se résigner ou se révolter. Toutes deux exigent la même liberté et la même lucidité. Malheureusement, nos révoltés sont encore et toujours beaucoup trop résignés, et nos résignés beaucoup trop révoltés.” Julien Torma
"Le viol des foules par la propagande politique." Serge Tchakhotine
Ils raisonnent sur toute la planète. Tout à commencé par une pandémie qui a mis en veilleuse pendant un temps les bruits de bottes, puis tout s'est accéléré, la guerre : l'Ukraine, l'Iran , L'Arménie, l'Afrique, Israel, la Palestine, l'Asie.la Chine, Les femmes , les enfants, les hommes sont violés, torturés , déportés, assassinés. Les changements climatiques, les incendies, la canicule, le réveil climatiqeu auta,t de sources d'inquiétudes Ces bruits de bottes raisonnent dans nos têtes et ça ne présagent rien de bon. Le bruits de bottes c'est le passé qui resurgit. Les femmes se révoltent et elles ont raison, mais est ce que ce sera suffisant ? Nous sommes en panne d'énergie, les prix montent, les populations souffrent, la nourriture vient à manquer, les prix flambent et laissent de côtés de plus en plus de gens. La France vacille. La médecine vient à manquer, les délais de rdv s'allongent et la perte de chance devient quotidienne pour les patients, elle peut être catastrophique et elle l 'a déjà été. L'essence se fait rare et nos responsables politiques de tous bords agissent sans véritablement agir. Ils subissent la situation actuelle, ici et ailleurs c'est pareil, faire face, ils ne font pas face. Le repli sur soi va être de retour alors que l'on doit se replier sur l'Europe qui devait nous sécuriser. Nous sommes dans une spirale infernale qu'il faut rompre à tout prix...avant qu'il ne soit trop tard.Il faut se réveiller et stopper les luttes intestines inutiles, délétères et qui ne servent à rien sauf certains ego à justifier leur propre existence. Des égos on s'en fou, on en a marre. L'irresponsabilité guette les gouvernants, l'irresponsabilité c'est le creuset de la révolte, ils sont tous irresponsables pendant que le feu nucléaire pointe à l'horizon. La parole est confisquée par des médias attardés tout comme les politiques qu'ils interviewent à longueur de temps et qui répétent à longueur de temps leur ennui monotone.
Ce tableau est volontairement noirci, mais la situation géo politique actuelle le justifie.
Il faut , un autre coup d'humeur, "déQatariser" la France !
La toile de fond actuelle c'est la violence sous toutes ses formes. Elle est partout dans la rue, en classe, à l'hôpital, danns la rue, à l'université,dans les maisons, dans les transports, dans les villages, dans les villes, chez les politiques, à l'Assemblée Nationale, au Sénat, à la TV, à la radio, dans les journaux, aux femmes , aux LGBT, à toutes les ethnies, à l'intérieur des religions etc et même plus encore, ici et ailleurs
Agissons pour éviter des lendemains qui déchantent, ça été écrit , chanté il y a fort longtemps sans résultat durable.
Agissons à l'unisson de l'Europe, la seule voie crédible car les états qui la composent pris isolément sont inefficaces et perdus dans leurs propres incohérences.
La femme ou l'homme providentiel ? Illusoire sauf catastrophe.
Les révoltes grondent et nous sommes sprectateurs d'une très mauvaise fiction qui ne demande qu'à devenir ben réelle.
En France la planche à billets et les milliards d'Euros se reproduisent tel des lapins, jusqu'à quand ?
« Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu'elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde se défasse. » Albert Camus.....que le monde se défasse et il a commencé......
La révolte, Jean Ferrat l'a toujours chanté et très bien chanté, changer les lieux, les personnages des ces trois chansons et ça colle étrangement avec la realité d'aujourd'hui, les bis répétitas de l'HISTOIRE ....encore et encore, mais l'HISTOIRE on s'en fou paraît-il.... et on a tord.
Le Bruit des bottes (1975)
La toile de fond actuelle c'est la violence sous toutes ses formes. Elle est partout dans la rue, en classe, à l'hôpital, danns la rue, à l'université,dans les maisons, dans les transports, dans les villages, dans les villes, chez les politiques, à l'Assemblée Nationale, au Sénat, à la TV, à la radio, dans les journaux, aux femmes , aux LGBT, à toutes les ethnies, à l'intérieur des religions etc et même plus encore, ici et ailleurs
Agissons pour éviter des lendemains qui déchantent, ça été écrit , chanté il y a fort longtemps sans résultat durable.
Agissons à l'unisson de l'Europe, la seule voie crédible car les états qui la composent pris isolément sont inefficaces et perdus dans leurs propres incohérences.
La femme ou l'homme providentiel ? Illusoire sauf catastrophe.
"Un homme providentiel ou une femme providentielle est une personne considérée par un groupe ou une population comme en capacité de les sauver d'une crise majeure. Cette crise peut être militaire, institutionnelle, politique, économique, sociale ou morale.
Pour l'historien Jean Garrigues, auteur de "Les hommes providentiels : histoire d'une fascination française" (seuil, 2012), c'est "un personnage qui apparait dans les périodes de crises, et qui se présente comme le sauveur ultime chargé d'une sorte de mission historique ou divine". L'auteur considère que "c'est une spécificité française d'en appeler de façon systématique à la figure du sauveur".
La référence à la religion (La Providence) sous-entend une intervention divine conférant à l'homme providentiel un pouvoir supérieur. Même après sa mort, il reste dans la mémoire collective par ses actes, son charisme et par la légende qui l'entoure et qui en fait un être d'exception. Certains se revendiquent de l'héritage d'un homme providentiel, même longtemps après la mort de celui-ci.
Exemples : les bonapartistes, les gaullistes.
Pour l'historien Jean Garrigues, auteur de "Les hommes providentiels : histoire d'une fascination française" (seuil, 2012), c'est "un personnage qui apparait dans les périodes de crises, et qui se présente comme le sauveur ultime chargé d'une sorte de mission historique ou divine". L'auteur considère que "c'est une spécificité française d'en appeler de façon systématique à la figure du sauveur".
La référence à la religion (La Providence) sous-entend une intervention divine conférant à l'homme providentiel un pouvoir supérieur. Même après sa mort, il reste dans la mémoire collective par ses actes, son charisme et par la légende qui l'entoure et qui en fait un être d'exception. Certains se revendiquent de l'héritage d'un homme providentiel, même longtemps après la mort de celui-ci.
Exemples : les bonapartistes, les gaullistes.
L'accès au pouvoir d'un "homme providentiel" peut se faire de manière régulière en respectant certains principes de la démocratie. L'homme providentiel ou ceux qui le soutiennent peuvent asseoir son pouvoir au moyen d'instruments de la démocratie directe, comme les plébiscites, au détriment des corps intermédiaires.
Depuis l'épopée napoléonienne, les Français semblent être restés sensibles, voire fascinés par la figure de l'homme providentiel attendu pour venir redresser le pays."
https://www.toupie.org/Dictionnaire/Homme_providentiel.htm#:~:text=D%C3%A9finition%20d'homme%20providentiel,%2C%20%C3%A9conomique%2C%20sociale%20ou%20morale.
https://www.toupie.org/Dictionnaire/Homme_providentiel.htm#:~:text=D%C3%A9finition%20d'homme%20providentiel,%2C%20%C3%A9conomique%2C%20sociale%20ou%20morale.
Les révoltes grondent et nous sommes sprectateurs d'une très mauvaise fiction qui ne demande qu'à devenir ben réelle.
En France la planche à billets et les milliards d'Euros se reproduisent tel des lapins, jusqu'à quand ?
« Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu'elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde se défasse. » Albert Camus.....que le monde se défasse et il a commencé......
La révolte, Jean Ferrat l'a toujours chanté et très bien chanté, changer les lieux, les personnages des ces trois chansons et ça colle étrangement avec la realité d'aujourd'hui, les bis répétitas de l'HISTOIRE ....encore et encore, mais l'HISTOIRE on s'en fou paraît-il.... et on a tord.
Le Bruit des bottes (1975)
Jean Ferrat
C'est partout le bruit des bottes, c'est partout l'ordre en kaki
Source : LyricFind
A écouter
https://www.youtube.com/watch?v=Lw8j1aFPd18&ab_channel=woud90
Potemkine (1965)
En Espagne on vous garotte, on vous étripe au Chili
On a beau me dire qu'en France, on peut dormir à l'abri Des Pinochet en puissance travaillent aussi du képi
On a beau me dire qu'en France, on peut dormir à l'abri Des Pinochet en puissance travaillent aussi du képi
Quand un Pinochet rapplique, c'est toujours en général
Pour sauver la République, pour sauver l'Ordre moral On sait comment ils opèrent pour transformer les esprits Les citoyens bien pépères en citoyens vert-de-gris
Pour sauver la République, pour sauver l'Ordre moral On sait comment ils opèrent pour transformer les esprits Les citoyens bien pépères en citoyens vert-de-gris
À coup d'interrogatoires, de carotte et de bâton
De plongeon dans la baignoire, de gégène et de tison Il se peut qu'on vous disloque ou qu'on vous passe à tabac Qu'on vous suicide en lousdoc au fond d'un commissariat
De plongeon dans la baignoire, de gégène et de tison Il se peut qu'on vous disloque ou qu'on vous passe à tabac Qu'on vous suicide en lousdoc au fond d'un commissariat
Il se peut qu'on me fusille pour avoir donné du feu
Pour avoir joué aux billes avec un petit hébreu On va t'écraser punaise pour avoir donné du pain Pour avoir donné du pèze au petit nord-africain
Pour avoir joué aux billes avec un petit hébreu On va t'écraser punaise pour avoir donné du pain Pour avoir donné du pèze au petit nord-africain
Il se pourrait qu'on m'accuse avec un petit gourdin
D'avoir étudié Marcuse, d'avoir été sartrien Ils auront des électrodes, ils diront "tu veux du jus" Pour connaître la période où j'étais au PSU
D'avoir étudié Marcuse, d'avoir été sartrien Ils auront des électrodes, ils diront "tu veux du jus" Pour connaître la période où j'étais au PSU
À moins qu'ils me ratatinent pour mon immoralité
Pour avoir baisé Delphine, pour avoir été pédé À moins qu'ils ne me condamnent à mourir écartelé Entre l'amour de Roxane et celui du beau Dédé
Pour avoir baisé Delphine, pour avoir été pédé À moins qu'ils ne me condamnent à mourir écartelé Entre l'amour de Roxane et celui du beau Dédé
Il se peut qu'on me douillette pour que je veuille attester Qu'en mil neuf cent soixante-sept, je lisais l'Humanité Il se peut qu'on me tourmente et qu'on me fasse avouer Que dans les années soixante, j'étais à la CGT
À moins qu'ils me guillotinent pour avoir osé chanter
Les marins du Potemkine et les camps de déportés À moins qu'avec un hachoir, ils me coupent les dix doigts Pour m'apprendre la guitare comme ils ont fait à Jara
Les marins du Potemkine et les camps de déportés À moins qu'avec un hachoir, ils me coupent les dix doigts Pour m'apprendre la guitare comme ils ont fait à Jara
C'est partout le bruit des bottes, c'est partout l'ordre en kaki
En Espagne on vous garotte, on vous étripe au Chili Il ne faut plus dire qu'en France, on peut dormir à l'abri Des Pinochet en puissance travaillent aussi du képi Travaillent aussi du képi.
En Espagne on vous garotte, on vous étripe au Chili Il ne faut plus dire qu'en France, on peut dormir à l'abri Des Pinochet en puissance travaillent aussi du képi Travaillent aussi du képi.
Source : LyricFind
A écouter
https://www.youtube.com/watch?v=Lw8j1aFPd18&ab_channel=woud90
Potemkine (1965)
Jean Ferrat
M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un monde
M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un monde
Qui chante au fond de moi au bruit de l'océan M'en voudrez-vous beaucoup si la révolte gronde Dans ce nom que je dis au vent des quatre vents
Ma mémoire chante en sourdine, Potemkine
Ils étaient des marins durs à la discipline Ils étaient des marins, ils étaient des guerriers Et le cœur d'un marin au grand vent se burine Ils étaient des marins sur un grand cuirassé
Sur les flots je t'imagine, Potemkine
M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un monde Où celui qui a faim va être fusillé Le crime se prépare et la mer est profonde Que face aux révoltés montent les fusiliers
C'est mon frère qu'on assassine, Potemkine
Mon frère, mon ami, mon fils, mon camarade Tu ne tireras pas sur qui souffre et se plaint Mon frère, mon ami, je te fais notre alcade
Marin ne tire pas sur un autre marin
Ils tournèrent leurs carabines, Potemkine
M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un monde Où l'on punit ainsi qui veut donner la mort M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un monde Où l'on n'est pas toujours du côté du plus fort
Ce soir j'aime la marine, Potemkine.
A écouter
https://music.youtube.com/tasteprofile
Nuit et Brouillard
Jean Ferrat
https://music.youtube.com/tasteprofile
Nuit et Brouillard
Jean Ferrat
Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers
A écouter
https://www.youtube.com/watch?v=Id1py59AydY&ab_channel=Chansons%2CFolkloreetVari%C3%A9t%C3%A9
Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés
Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent Ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés
Dès que la main retombe il ne reste qu'une ombre Ils ne devaient jamais plus revoir un été Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants
Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent Ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés
Dès que la main retombe il ne reste qu'une ombre Ils ne devaient jamais plus revoir un été Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants
La fuite monotone et sans hâte du temps
Combien de tours de roues, d'arrêts et de départs Qui n'en finissent pas de distiller l'espoir Ils s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel
Certains priaient Jésus, Jéhovah ou Vichnou D'autres ne priaient pas, mais qu'importe le ciel Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux Survivre encore un jour, une heure, obstinément
Combien de tours de roues, d'arrêts et de départs Qui n'en finissent pas de distiller l'espoir Ils s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel
Certains priaient Jésus, Jéhovah ou Vichnou D'autres ne priaient pas, mais qu'importe le ciel Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux Survivre encore un jour, une heure, obstinément
Ils n'arrivaient pas tous à la fin du voyage
Ceux qui sont revenus peuvent-ils être heureux? Ils essaient d'oublier, étonnés qu'à leur âge Les veines de leurs bras soient devenus si bleues Les Allemands guettaient du haut des miradors
La lune se taisait comme vous vous taisiez En regardant au loin, en regardant dehors Votre chair était tendre à leurs chiens policiers
Ceux qui sont revenus peuvent-ils être heureux? Ils essaient d'oublier, étonnés qu'à leur âge Les veines de leurs bras soient devenus si bleues Les Allemands guettaient du haut des miradors
La lune se taisait comme vous vous taisiez En regardant au loin, en regardant dehors Votre chair était tendre à leurs chiens policiers
On me dit à présent que ces mots n'ont plus cours
Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour Que le sang sèche vite en entrant dans l'histoire Et qu'il ne sert à rien de prendre une guitare Mais qui donc est de taille à pouvoir m'arrêter?
L'ombre s'est faite humaine, aujourd'hui c'est l'été Je twisterais les mots s'il fallait les twister Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous étiez
Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour Que le sang sèche vite en entrant dans l'histoire Et qu'il ne sert à rien de prendre une guitare Mais qui donc est de taille à pouvoir m'arrêter?
L'ombre s'est faite humaine, aujourd'hui c'est l'été Je twisterais les mots s'il fallait les twister Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous étiez
Vous étiez vingt et cent, vous étiez des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés Qui déchiriez la nuit de vos ongles battants Vous étiez des milliers, vous étiez vingt et cent
A écouter
https://www.youtube.com/watch?v=Id1py59AydY&ab_channel=Chansons%2CFolkloreetVari%C3%A9t%C3%A9