« À l’heure où la distanciation sociale est devenue l’impératif, je m’interroge sur le nez que nous gardons collé aux écrans. En matière de réflexion, nulle distanciation. Des nouvelles en continu, qui ne cessent de réviser leurs positions. Une vie sous perfusion de l’information. Du goutte-à-goutte, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept. Une contamination plus sournoise, par le virus de l’opinion. Car ce qui manque le plus est la décantation. » Ingrid Astier
Confinement, saison 2, J +11
La Covid-19 dirige le monde depuis 10 mois, nous sommes de plein pied dans l'ère virale, 140 pays sont concernés, la planète est en ébullition.
Année virale puisque tout dépens du virus. Le virus a choisi Biden ,étonnant car il serait plus "trumpien" ,mais Trump l'a trop méprisé. Le virus tue et tue encore "over the world", à ce jour plus de 1 million 250 000 morts et ça continue.
Le virus acutise les extrémistes et nous l'avons vécu avec horreur. On a l'impression, que le virus n'aime pas les caricatures alors qu'il est à l'origine de milliers de caricatures.
Il accentue la précarité sociale, il dévalise les banques alimentaires. Le virus nous oblige à être confiné, déconfiné puis reconfiné. Les courbes à son sujet se multiplient, comme les chiffres, le virus s'"exponentielle", tout le monde raffole de tout ce qui est rapporté à son sujet. Le virus fait la une chaque jour, les journalistes ne s'en lassent pas. Les traitements se fracssent contre le virus qui reste indestructible, quant aux vaccins ils font aussi la une mais vainement pour l'instant. Le virus fait "masquer" le monde, chacun s'éloigne de l'autre, les distances prises se mesurent en mètre et en défiance de l'autre. Les politiques "jouent du virus", car tant que le virus est là ils ont la paix, mais de moins en moins. Le virus nous force à l'isolement, à ne plus voyager, à ne plus faire de projets, à le subir. Il est asymptomatique et symptomatiques une traitrise de plus. L'économie est mise à genou par le virus, les transports sont plus que perturbés, les médecins, tous les personnels soignant n'en peuvent plus, les cimetières et les fosses communes se remplissent chaque jour, Le virus a horreur de la vérité, il distille les contre-vérités, prenant à revers les scientifiques les plus avertis. Le Pr Didier Raoult , lui le plus grand virologue du monde à force de vérités et contre-vérités s'est fait avoir, il a de plus faussement rassuré, le virus l'a mystifié avec jubilation. Il n'épargne ni les enfants ni les aînés. Il adore l'obésité et le diabète (substance très addictive), il est fou du gras et du sucre, il est fous des "vieux", il adore la réanimation mais il ne supporte pas l'oxygène qui permet de sauver les patients. Il a horreur des anticoagulants qui évitent les caillots lui qui est un grand fabricant de caillots.
Il n'aime pas non plus le gel hydroalcoolique, ne l'oubliez pas. Il n'aime pas les courants d'air, alors faites-en. Il a compris une chose importante le virus c'est que trop d'indifférence vis à vis de lui le rendait mortelle, c'est ainsi qu'il s'épanouit. La solidarité tarde à devenir une habitude au quotidien, le sens du civisme aussi et donc il se multiplie en permanence.
Dernière nouvelle (France Info) " les scientifiques n'ont toujours pas découvert comment le virus était passé de la chauve-souris à l'homme. Si la thèse d'un autre animal (le chien viverrin) ayant servi d'hôte intermédiaire reste privilégiée, la piste d'un accident de laboratoire n'est pas complètement abandonnée" De plus : "Une épidémie ne peut pas commencer naturellement à Wuhan. Ce n'est pas une origine géographique cohérente. Pour l'expliquer, il faut que l'homme intervienne à un moment ou à un autre .Alexandre Hassanin, chercheur au Muséum national d'histoire naturelle à franceinfo.....le débat reste ouvert et le virus pendant ce temps-là il se marre, vraiment il s'écroule de rire car "le pas vu pas pris" c'est son truc.
En France c'est le Comité de Défense qui décide la stratégie de lutte contre le virus. "C'est une bulle sous l'Elysée" dans laquelle Jupiter et ses conseillers et quelques ministres décident de tout , exit les représentations nationales. Nous sommes à la merci d'un groupuscule dont on ne connaît pas grand chose si ce n'est qu'il consulte le Comité Scientifique. Par contre le virus lui sait comment et par où et chez qui il va agir. Le problème c'est que nous n'arrivons pas à "infiltrer le virus", il a donc toujours un coup d'avance....le virus a-t-il une taupe au Comité de Défense; délirer est salutaire........mais la "bunkérisation du pouvoir" n'est pas une bonne chose, pas du tout.
Confinement, saison 2, J +11
La Covid-19 dirige le monde depuis 10 mois, nous sommes de plein pied dans l'ère virale, 140 pays sont concernés, la planète est en ébullition.
Année virale puisque tout dépens du virus. Le virus a choisi Biden ,étonnant car il serait plus "trumpien" ,mais Trump l'a trop méprisé. Le virus tue et tue encore "over the world", à ce jour plus de 1 million 250 000 morts et ça continue.
Le virus acutise les extrémistes et nous l'avons vécu avec horreur. On a l'impression, que le virus n'aime pas les caricatures alors qu'il est à l'origine de milliers de caricatures.
Il accentue la précarité sociale, il dévalise les banques alimentaires. Le virus nous oblige à être confiné, déconfiné puis reconfiné. Les courbes à son sujet se multiplient, comme les chiffres, le virus s'"exponentielle", tout le monde raffole de tout ce qui est rapporté à son sujet. Le virus fait la une chaque jour, les journalistes ne s'en lassent pas. Les traitements se fracssent contre le virus qui reste indestructible, quant aux vaccins ils font aussi la une mais vainement pour l'instant. Le virus fait "masquer" le monde, chacun s'éloigne de l'autre, les distances prises se mesurent en mètre et en défiance de l'autre. Les politiques "jouent du virus", car tant que le virus est là ils ont la paix, mais de moins en moins. Le virus nous force à l'isolement, à ne plus voyager, à ne plus faire de projets, à le subir. Il est asymptomatique et symptomatiques une traitrise de plus. L'économie est mise à genou par le virus, les transports sont plus que perturbés, les médecins, tous les personnels soignant n'en peuvent plus, les cimetières et les fosses communes se remplissent chaque jour, Le virus a horreur de la vérité, il distille les contre-vérités, prenant à revers les scientifiques les plus avertis. Le Pr Didier Raoult , lui le plus grand virologue du monde à force de vérités et contre-vérités s'est fait avoir, il a de plus faussement rassuré, le virus l'a mystifié avec jubilation. Il n'épargne ni les enfants ni les aînés. Il adore l'obésité et le diabète (substance très addictive), il est fou du gras et du sucre, il est fous des "vieux", il adore la réanimation mais il ne supporte pas l'oxygène qui permet de sauver les patients. Il a horreur des anticoagulants qui évitent les caillots lui qui est un grand fabricant de caillots.
Il n'aime pas non plus le gel hydroalcoolique, ne l'oubliez pas. Il n'aime pas les courants d'air, alors faites-en. Il a compris une chose importante le virus c'est que trop d'indifférence vis à vis de lui le rendait mortelle, c'est ainsi qu'il s'épanouit. La solidarité tarde à devenir une habitude au quotidien, le sens du civisme aussi et donc il se multiplie en permanence.
Dernière nouvelle (France Info) " les scientifiques n'ont toujours pas découvert comment le virus était passé de la chauve-souris à l'homme. Si la thèse d'un autre animal (le chien viverrin) ayant servi d'hôte intermédiaire reste privilégiée, la piste d'un accident de laboratoire n'est pas complètement abandonnée" De plus : "Une épidémie ne peut pas commencer naturellement à Wuhan. Ce n'est pas une origine géographique cohérente. Pour l'expliquer, il faut que l'homme intervienne à un moment ou à un autre .Alexandre Hassanin, chercheur au Muséum national d'histoire naturelle à franceinfo.....le débat reste ouvert et le virus pendant ce temps-là il se marre, vraiment il s'écroule de rire car "le pas vu pas pris" c'est son truc.
En France c'est le Comité de Défense qui décide la stratégie de lutte contre le virus. "C'est une bulle sous l'Elysée" dans laquelle Jupiter et ses conseillers et quelques ministres décident de tout , exit les représentations nationales. Nous sommes à la merci d'un groupuscule dont on ne connaît pas grand chose si ce n'est qu'il consulte le Comité Scientifique. Par contre le virus lui sait comment et par où et chez qui il va agir. Le problème c'est que nous n'arrivons pas à "infiltrer le virus", il a donc toujours un coup d'avance....le virus a-t-il une taupe au Comité de Défense; délirer est salutaire........mais la "bunkérisation du pouvoir" n'est pas une bonne chose, pas du tout.
Le virus multiplie des publications en tout genre, le nombre de livres déjà écrits est phénoménal (celui cité est remarquable) , il devient le roi de l'édition. Quant aux articles à son sujet , plus de 60 000, il en est le héros récurrent, il adore. Il est fou des contradictions avec des données addiditives qui deviennent parfois soustractives. Aux quatre coins du monde il est craint, il suscite la peur. Il devient un courant d'influence interplanétaire car en même temps tout ce qui se prépare, se déclare, se dit , à son propre sujet l'excite et le revigore. C'est la peopolisation virale, il y a des illuminés qui souhaitent être contaminés, pour pouvoir dire je l'ai et et je l'ai vaincu, on peut se demander si Trump a fait parti de ces illuminés pensant que ce serait un argument de campagne fabuleux , "moi je l'ai vaincu". Le virus .La Covid-19, a un nom facilement mémorisable, les publicistes et les communiquants qui travaillent pour lui, ont fait très forts. Il adooe les antis-masques, les antis-vaccins, les thérories du complot le dopent, Décidemment on a la triste impression que la Covid-19 avait tout prévu, rien n'a été conçu au hasard, il est "systémique" et "ubiquitaire" , pléonasme très fort, puisqu'il s'attaque à tous les organes en les malmenant avec force et en plus en faisant en sorte que les séquelles de son attaque soient invalidantes. Non content de tuer il veut laisser des cicatrices durables. Voilà aujourd'hui nous en sommes là, et demain et après demain...où en serons nous. ? Il est urgent à ce stade-là de donner la parole au yogi Berra " “It's tough to make predictions, especially about the future.”, il est difficile de faire des prédictions spécialement pour le futur, que les "prédictologues " en tout genre se calment, vous faites le jeu du virus.
En ce moment au jeu viral on perd !
Conclusion imagée et pleine d'espoir :
Source :
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19-l-hypothese-d-un-virus-echappe-d-un-laboratoire-serait-elle-finalement-credible_4165391.html