“Imaginez une société dans laquelle il n’y aurait aucune loi à transgresser. Il est probable qu’on y mourrait rapidement d’ennui.” Suzanne Hovatch
"Quelle est la valeur de la transgression lorsqu'il n'y a aucune règle, aucune sanction ?" Henri Guaino
Définitions
Définitions
L'Internaute
Action consistant pour quelqu'un à transgresser, c'est-à-dire à aller à l'encontre d'une loi ou bien encore d'un ordre.
Exemple : Aucune transgression ne sera tolérée en ce lieu. Toute entorse à ce principe sera sévèrement punie.
Synonyme : infraction, désobéissance, violation, faute, manquement
Traduction en anglais : (ordre) disobeying, (loi) infrangement
Exemple : Aucune transgression ne sera tolérée en ce lieu. Toute entorse à ce principe sera sévèrement punie.
Synonyme : infraction, désobéissance, violation, faute, manquement
Traduction en anglais : (ordre) disobeying, (loi) infrangement
Larousse
ETC, les exemples sont très nombreux et journaliers dans la vraie vie, la transgression c'est au moins 20% de nos décisions si ce n'est pas plus
En médecine la transgression est assez souvent compassionnelle et elle doit être toujours éthique.
En faisant des recherches sur ce sujet j'ai découvert un mémoire de master II d'éthique en santé publique, Université de Normandie, "Quelle légitilité de la transgression pour une décision médicale ethique" par Mylène GOURIOT, sous la Direction du Pr Grégoire Moutel 2019/202 : https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03521352/document in extenso. Un travail magnifique dont je vais reprendre quelques idées et je vius conseille de le lire (caractères bleus)
"Pour Anne-Marie BARANOWSKI, cétée dans ce travail , la transgression « signifie en premier lieu outrepasser des interdits clairement spécifiés ou codifiés - obligations sociales, lois, valeurs éthiques - en second lieu enfreindre une norme faisant l’objet d’un consensus, mais se dispensant, le cas échéant, de définition »."
"D’une façon plus précise, ce thème n’existe pas à notre connaissance, dans le domaine de
la formation des professionnels de santé. Tout comme le constate Olivier BABEAU concernant
les manuels de gestion, les manuels de sciences humaines dédiés à la formation des étudiants
en médecine n’en font pas mention. « Les traces de la dimension transgressive y sont
excessivement difficiles à déceler. C’est même une tâche vaine. »"
"S’interroger sur la transgression c’est donc s’interroger sur les normes qui étreignent le
domaine de la médecine et la pratique du soin, mais c’est surtout ouvrir une nouvelle
perspective sur les limites sans cesse mouvantes qui les déterminent, un peu comme si nous
décidions de regarder ces sujets d’un autre point de vue, de l’autre côté en ré-agençant une
autre grille d’analyse"
Les normes de la DECISION MEDICALE
Le « droit souple » présente l’intérêt de sa contradiction. Alors que le droit est généralement défini par son caractère obligatoire et contraignant, le droit souple donne au contraire la prééminence à un droit simplement proposé, recommandé, conseillé. Récente, la prise en compte de l’existence et de l’émergence d’un tel droit conduit donc désormais à distinguer, parmi l’ensemble des règles de droit, celles, impératives, correspondant au « droit dur » classique, de celles, simplement indicatives, moins traditionnelles. Codes privés, chartes de bonne conduite, lignes directrices, recommandations, avis, communiqués… Le droit souple gagne du terrain, dans toutes les branches du droit et dans tous les ordres juridiques, externe comme interne. Ses auteurs, privés ou publics, se présentent donc aujourd’hui comme de nouvelles sources de droit. À la condition, toujours discutée, de se détacher des critères classiques d’obligatoriété et de sanction de la règle de droit, l’effectivité étonnante des règles de droit souple, pourtant dépourvues de tels caractères, incite à la réflexion.
La transgression ne doit pas devenir la règle, il faut toujours pouvoir la justifier , par exemple en se référent à une ou des études publiées récemment mais non intégrées aux recommandations et consensus du moment. La transgression, nous l'avons déjà souligné doit être éthique, voire compensionnelle. Elle doit être annoncée et expliquée aux patients et donc il faut aussi soliciter son avis.
Normes de la décision médicale
"Paul RICOEUR apporte un éclairage précieux sur la prise de décision médicale c’est-àdire sur la formation du jugement dans le domaine médical qu’il met en parallèle avec ladécision judiciaire. Ainsi « ce qui est commun aux deux régimes de jugement c’est de placer un cas particulier sous une règle et ce cas particulier est, dans les deux cas, une personne. »"
"Finalement, protéger activement la liberté de la décision médicale comme valeur supérieure aux normes de la standardisation, c’est admettre le réel parce qu’il faut reconnaître que le simple rapport aux normes ne permet pas de qualifier le sens éthique d’une décision. « C’est toujours un sujet singulier – le professionnel – qui sedoit d’agir, conscient d’un sens, d’un imaginaire à l’oeuvre, d’une représentation socialeportant partiellement l’action tout en assumant le sens risqué qu’il déploie dans son propreagir ». La valeur éthique d’une décision ne peut être déterminée par la seule capacité
d’orientation dans le labyrinthe normatif"
Action de transgresser une loi, un ordre, un interdit.
Synonyme : violation
Synonyme : violation
Le droit de transgression existe en médecine, il est à l'origine de 15 à 20% de nos décisions médicales, la fameuse décision médicale.
Remarque préliminaire
"Quel sens donner à l’expression « faire de l’éthique » aujourd’hui en médecine, entre l’importance de respecter des règles qui ont été établies pour de bonnes raisons, et la pertinence, voire la nécessité de les transgresser au nom d’un même idéal, celui du soin ?
L’éthique médicale contemporaine s’est en grande partie construite sur des principes, des codes et des lois. Ils encadrent et définissent ce qu’est une bonne pratique médicale. Faire de l’éthique consisterait ainsi à élaborer ces règles et y conformer les actes en vue du soin.
L’émergence des situations complexes contemporaines, qui sont des situations hors normes, constitue cependant un défi pour des règles établies qui ne semblent plus suffisantes pour satisfaire aux exigences morales du soin. Dans ces situations, faire de l’éthique pourrait aussi - et paradoxalement – consister à choisir de transgresser ces règles dans l’intérêt de la personne malade"http://www.erebfc.fr/information-et-debats/l-ethique-les-regles-la-transgression-qu-est-ce-que-faire-de-l-ethique/
Quelques exemples de la transgression médicale quotidienne
Remarque préliminaire
"Quel sens donner à l’expression « faire de l’éthique » aujourd’hui en médecine, entre l’importance de respecter des règles qui ont été établies pour de bonnes raisons, et la pertinence, voire la nécessité de les transgresser au nom d’un même idéal, celui du soin ?
L’éthique médicale contemporaine s’est en grande partie construite sur des principes, des codes et des lois. Ils encadrent et définissent ce qu’est une bonne pratique médicale. Faire de l’éthique consisterait ainsi à élaborer ces règles et y conformer les actes en vue du soin.
L’émergence des situations complexes contemporaines, qui sont des situations hors normes, constitue cependant un défi pour des règles établies qui ne semblent plus suffisantes pour satisfaire aux exigences morales du soin. Dans ces situations, faire de l’éthique pourrait aussi - et paradoxalement – consister à choisir de transgresser ces règles dans l’intérêt de la personne malade"http://www.erebfc.fr/information-et-debats/l-ethique-les-regles-la-transgression-qu-est-ce-que-faire-de-l-ethique/
Quelques exemples de la transgression médicale quotidienne
- Ne pas respecter une recommandation médicale de fort garde est une transgression
- Prescrire de l'aspirine en prévention primaire est une transgression
- Prescrire de l'aspirine en prévention primaire est une transgression
- Ecoles et pouvoirs publiques : au bout de 2 ans de pandémie, la transmission par aérosolisation n’est toujours pas reconnue, c'est une transgression
- Prescrire un AOD pour une thrombose veineuse superficielle est une transgression par rapport à l'AMM des AOD
- Prescrire des AOD "Low Dose" alors qu'ils devraient être prescrits à dose normale, c'est une transgression
- Prescrire des AOD "Low Dose" alors qu'ils devraient être prescrits à dose normale, c'est une transgression
- Prescrire une statine en sous dosage en prévention secondaire CV est une transgression
- Suivre en écho Doppler une petite plaeqe carotidienne tous les ans voire tous les 6 mois est une transgression
- Faire un écho-Doppler transcrânien en même temps qu'un écho Doppler des vaisseaux du cou, alors que cet examen n'est pas indiqué , c'est de la transgession
- Suivre en scanner un anévrisme de l'aorte abdominale sous rénal tous les 6 mois, avec un DAP de 40 mm, est une transgresson (vu récemment)
- Faire un écho-Doppler transcrânien en même temps qu'un écho Doppler des vaisseaux du cou, alors que cet examen n'est pas indiqué , c'est de la transgession
- Suivre en scanner un anévrisme de l'aorte abdominale sous rénal tous les 6 mois, avec un DAP de 40 mm, est une transgresson (vu récemment)
- Ne pas mesurer l'index de pression à la cheville chez un artéritique est une transgression
ETC, les exemples sont très nombreux et journaliers dans la vraie vie, la transgression c'est au moins 20% de nos décisions si ce n'est pas plus
Année Molière ! Les médecins comme Mr Jourdain font de la transgression sans le savoir, nous sommes toutes et tous le "Monsieur Jourdain" de quelque chose, ici la transgression
En médecine la transgression est assez souvent compassionnelle et elle doit être toujours éthique.
En faisant des recherches sur ce sujet j'ai découvert un mémoire de master II d'éthique en santé publique, Université de Normandie, "Quelle légitilité de la transgression pour une décision médicale ethique" par Mylène GOURIOT, sous la Direction du Pr Grégoire Moutel 2019/202 : https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03521352/document in extenso. Un travail magnifique dont je vais reprendre quelques idées et je vius conseille de le lire (caractères bleus)
"Pour Anne-Marie BARANOWSKI, cétée dans ce travail , la transgression « signifie en premier lieu outrepasser des interdits clairement spécifiés ou codifiés - obligations sociales, lois, valeurs éthiques - en second lieu enfreindre une norme faisant l’objet d’un consensus, mais se dispensant, le cas échéant, de définition »."
"D’une façon plus précise, ce thème n’existe pas à notre connaissance, dans le domaine de
la formation des professionnels de santé. Tout comme le constate Olivier BABEAU concernant
les manuels de gestion, les manuels de sciences humaines dédiés à la formation des étudiants
en médecine n’en font pas mention. « Les traces de la dimension transgressive y sont
excessivement difficiles à déceler. C’est même une tâche vaine. »"
"S’interroger sur la transgression c’est donc s’interroger sur les normes qui étreignent le
domaine de la médecine et la pratique du soin, mais c’est surtout ouvrir une nouvelle
perspective sur les limites sans cesse mouvantes qui les déterminent, un peu comme si nous
décidions de regarder ces sujets d’un autre point de vue, de l’autre côté en ré-agençant une
autre grille d’analyse"
Les normes de la DECISION MEDICALE
Qu’est-ce que le droit souple ?
Le « droit souple » présente l’intérêt de sa contradiction. Alors que le droit est généralement défini par son caractère obligatoire et contraignant, le droit souple donne au contraire la prééminence à un droit simplement proposé, recommandé, conseillé. Récente, la prise en compte de l’existence et de l’émergence d’un tel droit conduit donc désormais à distinguer, parmi l’ensemble des règles de droit, celles, impératives, correspondant au « droit dur » classique, de celles, simplement indicatives, moins traditionnelles. Codes privés, chartes de bonne conduite, lignes directrices, recommandations, avis, communiqués… Le droit souple gagne du terrain, dans toutes les branches du droit et dans tous les ordres juridiques, externe comme interne. Ses auteurs, privés ou publics, se présentent donc aujourd’hui comme de nouvelles sources de droit. À la condition, toujours discutée, de se détacher des critères classiques d’obligatoriété et de sanction de la règle de droit, l’effectivité étonnante des règles de droit souple, pourtant dépourvues de tels caractères, incite à la réflexion.
https://actu.dalloz-etudiant.fr/le-saviez-vous/article/quest-ce-que-le-droit-souple/h/96b209b064f20527f81ad3ef2372d48f.html
Le DROIT SOUPLE c'est celui qui régit la médecine. Le principe de transgrssion fait partie intégrante de la DECISION MEDICALE, ce droit ,doit respecter le code de déontologie, le serment d'Hippocrate , il est intégré à notre exercice. Nous vivons aujourd'hui dans une société normative, avec une bureaucratisation qui étoufree souvent toute décision. La médecine est ceres régit pas des lois et décrets , mais la médecine c'est un patient ,une ou un praticien lors de la consultation initiale. Les recommandations scientifiques souvent lorsqu'elles sont publiées sont balayées par de nouvelles études non intégrées à la publication de la recommandation Tout va très vite, on l'a vue avec la Covid - 19 où les décions empiriques transgressives ont été multiples.
Un exemple prévenir une thrombose veineuse par un anticaogulmant curatif en cas de Covid-19, n'est ce pas une transgression ? Il ne faut pas culpabiliser si dans cerains cas on sort de la norme,et que l' on ne respecte pas les recommandations. Les souhaits, les préférence du patient sont aussi des motifs de transgression.
"La transgression est communément jugée comme telle par une évaluation de l’acte médical, de la réalisation de celui-ci. Cet acte est défini comme l'ensemble des activités humaines, techniques et scientifiques exercées par une personne qui réunit les conditions d'exercice de la médecine et ayant pour but la prévention, la guérison ou le soulagement des maladies et des infirmités qui atteignent les êtres humains40. La référence à l’acte médical ainsi défini parait peu pertinent pour apprécier pleinement la légitimité éthique de la transgression. En effet, la finalité de l’acte pose un caractère restrictif qui nous mènerait d’une part à considérer la légitimité de l’acte uniquement a posteriori et qui plus est d’un point de vue « technique ». Or cette action est en réalité élaborée en amont, dans l’exercice d’un choix arbitré par le soignant. « Ce choix résulte de la rencontre entre la manifestation d’un besoin
et une offre de soin, entendue au sens large. "
Le DROIT SOUPLE c'est celui qui régit la médecine. Le principe de transgrssion fait partie intégrante de la DECISION MEDICALE, ce droit ,doit respecter le code de déontologie, le serment d'Hippocrate , il est intégré à notre exercice. Nous vivons aujourd'hui dans une société normative, avec une bureaucratisation qui étoufree souvent toute décision. La médecine est ceres régit pas des lois et décrets , mais la médecine c'est un patient ,une ou un praticien lors de la consultation initiale. Les recommandations scientifiques souvent lorsqu'elles sont publiées sont balayées par de nouvelles études non intégrées à la publication de la recommandation Tout va très vite, on l'a vue avec la Covid - 19 où les décions empiriques transgressives ont été multiples.
Un exemple prévenir une thrombose veineuse par un anticaogulmant curatif en cas de Covid-19, n'est ce pas une transgression ? Il ne faut pas culpabiliser si dans cerains cas on sort de la norme,et que l' on ne respecte pas les recommandations. Les souhaits, les préférence du patient sont aussi des motifs de transgression.
"La transgression est communément jugée comme telle par une évaluation de l’acte médical, de la réalisation de celui-ci. Cet acte est défini comme l'ensemble des activités humaines, techniques et scientifiques exercées par une personne qui réunit les conditions d'exercice de la médecine et ayant pour but la prévention, la guérison ou le soulagement des maladies et des infirmités qui atteignent les êtres humains40. La référence à l’acte médical ainsi défini parait peu pertinent pour apprécier pleinement la légitimité éthique de la transgression. En effet, la finalité de l’acte pose un caractère restrictif qui nous mènerait d’une part à considérer la légitimité de l’acte uniquement a posteriori et qui plus est d’un point de vue « technique ». Or cette action est en réalité élaborée en amont, dans l’exercice d’un choix arbitré par le soignant. « Ce choix résulte de la rencontre entre la manifestation d’un besoin
et une offre de soin, entendue au sens large. "
La transgression ne doit pas devenir la règle, il faut toujours pouvoir la justifier , par exemple en se référent à une ou des études publiées récemment mais non intégrées aux recommandations et consensus du moment. La transgression, nous l'avons déjà souligné doit être éthique, voire compensionnelle. Elle doit être annoncée et expliquée aux patients et donc il faut aussi soliciter son avis.
Normes de la décision médicale
"Paul RICOEUR apporte un éclairage précieux sur la prise de décision médicale c’est-àdire sur la formation du jugement dans le domaine médical qu’il met en parallèle avec ladécision judiciaire. Ainsi « ce qui est commun aux deux régimes de jugement c’est de placer un cas particulier sous une règle et ce cas particulier est, dans les deux cas, une personne. »"
"Finalement, protéger activement la liberté de la décision médicale comme valeur supérieure aux normes de la standardisation, c’est admettre le réel parce qu’il faut reconnaître que le simple rapport aux normes ne permet pas de qualifier le sens éthique d’une décision. « C’est toujours un sujet singulier – le professionnel – qui sedoit d’agir, conscient d’un sens, d’un imaginaire à l’oeuvre, d’une représentation socialeportant partiellement l’action tout en assumant le sens risqué qu’il déploie dans son propreagir ». La valeur éthique d’une décision ne peut être déterminée par la seule capacité
d’orientation dans le labyrinthe normatif"
Si je fait référence maintenant à la Pertinence des Soins, notre "CHOOSE WISELY" Made in France, les textes publiés sont souvent transgressifs par rapport aux recommandations mais ils ont raison le plus souvent.
Alors en médecine TRANSRESSER or not TRANSGRESSER , dans la VRAIE VIE ?
OUI, mais une TRANSGRESSION motivée par un contexte médical particulier, par des RECOMMANDATIONS non actualisées, par des PUBLICATIONS pas encore intégrées.
TRANSGRESION justifiée sur le plan ETHIQUE," l'éthique se positionne alors en paralléle des normes, une norme des normes" (Myléne Gouriot).
Alors en médecine TRANSRESSER or not TRANSGRESSER , dans la VRAIE VIE ?
OUI, mais une TRANSGRESSION motivée par un contexte médical particulier, par des RECOMMANDATIONS non actualisées, par des PUBLICATIONS pas encore intégrées.
TRANSGRESION justifiée sur le plan ETHIQUE," l'éthique se positionne alors en paralléle des normes, une norme des normes" (Myléne Gouriot).
Dans certains cas la transgression est COMPASSIONNELLE, mais toujours dans la TRANSPARENCE reposant sur des VERITES SCIENTIFIQUES de qualité.
Attention ce que l'on appelle transgression en médecine ce n'est pas déraper et s'engager hors de la médecine, ce qui est dangereux et surtout répréhensible. Toute conduite qui s'éloigne de de l'art de la médecine est vouée à l'échec comme les tribulations de D Raoult et consorts et cela mérite une condamnation.
Quant à la DIGRESSION en médecine, à éviter come la REGRESSION médicale.
Quant à la DIGRESSION en médecine, à éviter come la REGRESSION médicale.
#VACCINE3.0 + grippe