- « Le futur a été créé pour être changé. » Paolo Coelho
https://sfar.org/download/gestion-de-lanticoagulation-dans-un-contexte-durgence/
En raison de l'augmentation de l'utilisation des anticoagulants dans la population ces dernières années,la prise en charge de ces patients est devenue une pratique quotidienne. Cela concerne majoritairemen tles patients âgés. Tous les traitements anticoagulants augmentent le risque hémorragique. Cesrecommandations traitent de la prise en charge en contexte d’urgence des patients traités paranticoagulants, ce qui inclut l’identification biologique d’un traitement anticoagulant, la prise en charge
des hémorragies, des surdosages asymptomatiques, des procédures invasives des patients traités par anticoagulants, ainsi que les indications de la thrombolyse en cas d’accident vasculaire cérébral ischémique. Ces recommandations concernent les anticoagulants oraux incluant les antivitamines K (AVK), les anticoagulants oraux directs (AOD) dont le dabigatran (AOD anti-IIa), le rivaroxaban,l’apixaban et l’edoxaban (AOD anti-Xa) ; et les anticoagulants parentéraux (héparines de bas poids moléculaire (HBPM), héparine non fractionnée (HNF) et fondaparinux).Ces recommandations n’abordent ni les anticoagulants utilisés de façon peu fréquente en milieu hospitalier (type : danaparoïde, argatroban…), ni les agents antiplaquettaires, ni la gestion desanticoagulants pour les gestes invasifs programmés (ex : endoscopie ou chirurgie programmée).
En raison de l'augmentation de l'utilisation des anticoagulants dans la population ces dernières années,la prise en charge de ces patients est devenue une pratique quotidienne. Cela concerne majoritairemen tles patients âgés. Tous les traitements anticoagulants augmentent le risque hémorragique. Cesrecommandations traitent de la prise en charge en contexte d’urgence des patients traités paranticoagulants, ce qui inclut l’identification biologique d’un traitement anticoagulant, la prise en charge
des hémorragies, des surdosages asymptomatiques, des procédures invasives des patients traités par anticoagulants, ainsi que les indications de la thrombolyse en cas d’accident vasculaire cérébral ischémique. Ces recommandations concernent les anticoagulants oraux incluant les antivitamines K (AVK), les anticoagulants oraux directs (AOD) dont le dabigatran (AOD anti-IIa), le rivaroxaban,l’apixaban et l’edoxaban (AOD anti-Xa) ; et les anticoagulants parentéraux (héparines de bas poids moléculaire (HBPM), héparine non fractionnée (HNF) et fondaparinux).Ces recommandations n’abordent ni les anticoagulants utilisés de façon peu fréquente en milieu hospitalier (type : danaparoïde, argatroban…), ni les agents antiplaquettaires, ni la gestion desanticoagulants pour les gestes invasifs programmés (ex : endoscopie ou chirurgie programmée).
Les indications et modalités d’anticoagulation à dose curative par pathologie ne seront pas reprises car ayant fait l’objet de recommandations spécifiques en fonction des indications.
LES RECOS en 47 épisodes
LES RECOS en 47 épisodes
ZOOM
Cher lecteur il vous reste à ltre les argumentaires et prendre connaissance de la bibliographie de ce travail passionnant et si utile
A part le dadigatran qui posséde un antidote, pas d'antidote spécifique des anti Xa en France à ce jour (Andexanet et Cirapantag) mais on s'en sort très bien.
Cher lecteur il vous reste à ltre les argumentaires et prendre connaissance de la bibliographie de ce travail passionnant et si utile
A part le dadigatran qui posséde un antidote, pas d'antidote spécifique des anti Xa en France à ce jour (Andexanet et Cirapantag) mais on s'en sort très bien.