“Voter c'est écrire l'Histoire.” Alex Le gall
“Il faut voter avec son intelligence et non avec ses tripes.” Jacques Chirac
“Un référendum c’est une excitation nationale où on met tout dans le pot. On pose une question, les gens s’en posent d’autres et viennent voter en fonction de raisons qui n’ont plus rien à voir avec la question.” Karl Zéro
Le Front National, nouvelle version , le Rassemblement National , n'est que la pâle copie de l'ancienne. Un programme erratique, avec un replis sur soi catastrophique. avec le RN, c'est un FREXIT qui ne dit pas son nom, ce sera une république référendaire ,raciste, une république diminuée, une démocratie illébérale donc dictatoriale.
VOTE contre le RN :
RETRAITE
RN : un départ à la retraite élastique entre 60 ans et beaucoup plus, 67 ans , voire 70 ans
L'âge de la retraite en Europe .....NO COMMENT !
Plus JAMAIS ça !
Sous l'influence de MOSCOU: MLP dès que la paix est signée avec l'UKRAINE on est de nouveau ami avec Vladimir.....sans commentaire
Ses Amis ne sont pas mes amis
Un service d'ordre exemplaire
La politique du CHAT...va bien
Le débat
Le vote obligatoire est un sujet auquel il faudra réfléchir .
Une requête auprès d'E Macron : ayez un programme écologique digne de ce nom, des faits et des actes ,abandonnez les paroles inutiles et la posture. Après 5 ans de règne, les 5 ans à venir doivent être le temps de l'accomplissement dans le respect "des gens". Préoccupez vous de la Santé, des Salaires , des Aînés, des Retraites, du Climatn de la Pollution, e la Laïcité, de la Tolérance , de l'Europe, et ne vous égarez pas, restez sur l'essentiel, faites simple.
Quant aux extrêmes vous avez échoué, rétablissez la barre en faisant en sorte que l'extrême droite se liquéfie.
Victor Hugo : Ils ont voté!
(extrait des Châtiments, III, 4, 1853)
Ils ont voté (1) ! Troupeau que la peur mène paître
Entre le sacristain et le garde champêtre,
Vous qui, pleins de terreur, voyez, pour vous manger,
Pour manger vos maisons, vos bois, votre verger,
Vos meules de luzerne et vos pommes à cidre,
S'ouvrir tous les matins les mâchoires d'une hydre ;
Braves gens, qui croyez en vos foins, et mettez
De la religion dans vos propriétés ;
Âmes que l'argent touche et que l'or fait dévotes
Maires narquois, traînant vos paysans aux votes
Marguilliers aux regards vitreux ; curés camus
Hurlant à vos lutrins : Doemonem laudamus ;
Sots, qui vous courroucez comme flambe une bûche ;
Marchands dont la balance incorrecte trébuche ; […]
Invalides, lions transformés en toutous ;
Niais, pour qui cet homme est un sauveur ; vous tous
Qui vous ébahissez, bestiaux de Panurge,
Aux miracles que fait Cartouch thaumaturge
Noircisseurs de papier timbré, planteurs de choux,
Est-ce que vous croyez que la France, c'est vous,
Que vous êtes le peuple, et que jamais vous eûtes
Le droit de nous donner un maître, ô tas de brutes ?
Ce droit, sachez-le bien, chiens du berger Maupas ,
Et la France et le peuple eux-mêmes ne l'ont pas.
L'altière Vérité jamais ne tombe en cendre.
La Liberté n'est pas une guenille à vendre,
Jetée au tas, pendue au clou chez un fripier.
Quand un peuple se laisse au piège estropier,
Le droit sacré, toujours à soi-même fidèle,
Dans chaque citoyen trouve une citadelle ;
On s'illustre en bravant un lâche conquérant,
Et le moindre du peuple en devient le plus grand.
Donc, trouvez du bonheur, ô plates créatures,
À vivre dans la fange et dans les pourritures,
Adorez ce fumier sous ce dais de brocart,
L'honnête homme recule et s'accoude à l'écart.
Dans la chute d'autrui je ne veux pas descendre.
L'honneur n'abdique point. Nul n'a droit de me prendre
Ma liberté, mon bien, mon ciel bleu, mon amour.
Tout l'univers aveugle est sans droit sur le jour.
Fût-on cent millions d'esclaves, je suis libre.
Ainsi parle Caton . Sur la Seine ou le Tibre,
Personne n'est tombé tant qu'un seul est debout.
Le vieux sang des aïeux qui s'indigne et qui bout,
La vertu, la fierté, la justice, l'histoire,
Toute une nation avec toute sa gloire
Vit dans le dernier front qui ne veut pas plier.
Pour soutenir le temple, il suffit d'un pilier ;
Un Français, c'est la France ; un Romain contient Rome,
Et ce qui brise un peuple avorte aux pieds d'un homme.
- Ils ont voté ! : le plébiscite du 20 décembre 1851 devait aboutir à la naissance du second Empire.