«La salle de chimio, j’appelle ça la salle d’attente de l’au-delà... Là, personne te reproche de passer en avant des autres.» Claude Dubois
"Votre cancer est unique, le choix des traitements et leur séquence aussi." Astrid Le Mintier
https://www.cell.com/action/showPdf?pii=S0092-8674%2823%2900216-7
Document mis en ligne par le sur X avec son commentaire : voici les molécules de chimiothérapie validées et utilisées en pratique courante en oncologie. Vous pouvez chercher : l'ivermectine, le bleu de méthylène ou encore le fenbendazole n'y figurent pas. Pourquoi ? Car il n'existe strictement AUCUNE étude d'efficacité chez l'homme Aucune Pas une .
Ne croyez pas n'importe qui, soyez au courant des fakes news qui circulent en oncologie, vous pourrez peut-être protéger un ami ou un proche de votre famille trop crédule qui avec ces foutaises perdront de l'argent et plus grave peut-être un temps précieux.
Excellente INFOGRPAHIE
Mobilisons nous contre la DESINFORMATION de la médecine qui nuit largement à toutes et tous les patients atteints d'un cancer
A LIRE
Infos Santé Grand Public : la vérité !
Accès soins primaires et CANCER : cherchez l'erreur !
Désinformation médicale, ça suffit !
Médecine alternative et CANCER !
https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(25)00094-7/fulltext?dgcid=twitter_organic_eds25_lancet&utm_campaign=5447552-cover25&utm_content=322199388&utm_medium=social&utm_source=twitter&hss_channel=tw-27013292
Document mis en ligne par le sur X avec son commentaire : voici les molécules de chimiothérapie validées et utilisées en pratique courante en oncologie. Vous pouvez chercher : l'ivermectine, le bleu de méthylène ou encore le fenbendazole n'y figurent pas. Pourquoi ? Car il n'existe strictement AUCUNE étude d'efficacité chez l'homme Aucune Pas une .
Ne croyez pas n'importe qui, soyez au courant des fakes news qui circulent en oncologie, vous pourrez peut-être protéger un ami ou un proche de votre famille trop crédule qui avec ces foutaises perdront de l'argent et plus grave peut-être un temps précieux.
Excellente INFOGRPAHIE
Mobilisons nous contre la DESINFORMATION de la médecine qui nuit largement à toutes et tous les patients atteints d'un cancer
A LIRE
Infos Santé Grand Public : la vérité !
https://medvasc.info/archives-blog/infos-sant%C3%A9-grand-public?highlight=WyJkZXNpbmZvcm1hdGlvbiJd
Accès soins primaires et CANCER : cherchez l'erreur !
https://medvasc.info/archives-blog/acc%C3%A8s-soins-primaires-et-cancer?highlight=WyJkZXNpbmZvcm1hdGlvbiJd
Désinformation médicale, ça suffit !
https://medvasc.info/archives-blog/d%C3%A9sinformations-m%C3%A9dicale-%C3%A7a-suffit?highlight=WyJkZXNpbmZvcm1hdGlvbiJd
Dans cette tribune signée par des sociétés savantes et syndicats représentant plusieurs milliers de médecins, nous alertons le grand public et les pouvoirs publics sur les dangers et dérives de la propagation de désinformations en matière de santé
https://www.lexpress.fr/sciences-sante/sante/reseaux-sociaux-medias-mettons-fin-a-la-propagation-impunie-de-fausses-informations-medicales-LDQ7GCFEBBEQNHDY44TC6P3MZA/
Médecine alternative et CANCER !
"La voix du gourou ne mène qu'à la porte du gourou.” Rabindranàth Tagore
Ne pas oublier que 5O % de plus de risque de décés en cas d'utilisation de médecines alternatives en cas de cancer par rapport au traitement du cancer prescrit de manière classique
https://medvasc.info/archives-blog/acc%C3%A8s-soins-primaires-et-cancer?highlight=WyJkZXNpbmZvcm1hdGlvbiJd
La santé à l’ère de la désinformation......à méditer +++++
La désinformation (données fausses ou trompeuses partagées involontairement) et la désinformation (informations délibérément trompeuses) en matière de santé ne sont pas nouvelles, mais la pandémie de COVID-19 a marqué un tournant. Le sentiment d’anxiété et d’urgence, associé à l’augmentation de l’utilisation des médias sociaux et aux interprétations politiquement chargées de la pandémie, a favorisé la propagation d’une série d’affirmations trompeuses sur le virus et les contre-mesures médicales.
La désinformation en matière de santé a été utilisée comme arme de propagande, exploitant la peur, sapant la confiance du public et entravant l’action collective dans les moments critiques. Aujourd’hui, le contenu trompeur des médias sociaux imprègne les informations sur la prévention et le traitement du cancer ; il peut amener les patients à abandonner des traitements fondés sur des preuves au profit d’alternatives soutenues par des influenceurs ; il minimise la gravité des problèmes de santé mentale ; et il fait la promotion de compléments alimentaires non réglementés prétendant fonctionner dans tous les domaines, de la perte de poids à l’inversion du vieillissement.
La désinformation est devenue un instrument délibéré pour attaquer et discréditer les scientifiques et les professionnels de la santé à des fins politiques. Les effets sont destructeurs et préjudiciables à la santé publique.
La désinformation en matière de santé a été utilisée comme arme de propagande, exploitant la peur, sapant la confiance du public et entravant l’action collective dans les moments critiques. Aujourd’hui, le contenu trompeur des médias sociaux imprègne les informations sur la prévention et le traitement du cancer ; il peut amener les patients à abandonner des traitements fondés sur des preuves au profit d’alternatives soutenues par des influenceurs ; il minimise la gravité des problèmes de santé mentale ; et il fait la promotion de compléments alimentaires non réglementés prétendant fonctionner dans tous les domaines, de la perte de poids à l’inversion du vieillissement.
La désinformation est devenue un instrument délibéré pour attaquer et discréditer les scientifiques et les professionnels de la santé à des fins politiques. Les effets sont destructeurs et préjudiciables à la santé publique.
La décision récente de Meta de mettre fin à la vérification des faits illustre le sentiment que cette menace n’est pas prise suffisamment au sérieux par les entreprises technologiques. Facebook (comme d’autres réseaux sociaux) était déjà une source majeure de désinformation sur la santé, mais même si la vérification des faits ne peut pas éliminer complètement les informations inexactes, elle fait une différence et sa suppression ouvre la voie à des contenus préjudiciables. La désinformation se propageant souvent plus vite que les faits, il est essentiel que les faits soient transmis d’une manière qui ne laisse aucune place à une mauvaise interprétation.
L’annonce de Mark Zuckerberg s’inscrit dans une tendance à réduire la surveillance qui peut donner l’impression que la bataille des faits est perdue. Xavier Becerra , qui dirigeait le ministère américain de la Santé et des Services sociaux, affirme que les agences fédérales sont dépassées par « l’information instantanée et la désinformation ».
L’annonce de Mark Zuckerberg s’inscrit dans une tendance à réduire la surveillance qui peut donner l’impression que la bataille des faits est perdue. Xavier Becerra , qui dirigeait le ministère américain de la Santé et des Services sociaux, affirme que les agences fédérales sont dépassées par « l’information instantanée et la désinformation ».
Des efforts positifs ont toutefois été déployés. L’Australie a l’intention d’instaurer de lourdes amendes pour les plateformes qui ne font rien pour empêcher la diffusion de fausses informations.
La Commission européenne a publié des recommandations pour lutter contre la désinformation sur la COVID-19 par le biais d’interventions comportementales ciblées. L’OMS a pris des mesures pour encourager une communication responsable des informations sur la santé et pour signaler les contenus trompeurs. Les médias sociaux peuvent être une force pour le bien, et des personnes s’efforcent d’éduquer le public de manière créative et efficace.
La Commission européenne a publié des recommandations pour lutter contre la désinformation sur la COVID-19 par le biais d’interventions comportementales ciblées. L’OMS a pris des mesures pour encourager une communication responsable des informations sur la santé et pour signaler les contenus trompeurs. Les médias sociaux peuvent être une force pour le bien, et des personnes s’efforcent d’éduquer le public de manière créative et efficace.
La lutte contre la désinformation ne se résume pas à corriger les faits. Elle implique également de lutter contre les manipulations intentionnelles et la façon dont les algorithmes dirigent l’attention des gens , les obligeant à naviguer seuls dans un mélange complexe de science et de fiction. Le contenu généré par l’intelligence artificielle (IA) présente des défis croissants, mais l’IA peut également aider à signaler les contenus sans fondement scientifique, même si elle ne peut pas remplacer l’apprentissage de la vérification des faits et de l’identification des sources crédibles. La lutte contre la désinformation nécessite une approche systématique semblable à celle de la lutte contre la propagation des agents infectieux : trouver et contenir la source, identifier de manière proactive les personnes les plus vulnérables à ses effets et immuniser la population contre les fausses déclarations en fournissant des ressources pédagogiques claires. Elle ne peut pas être laissée aux efforts volontaires et individuels.
L’enquête britannique sur la COVID-19 a publié cette semaine son rapport Every Story Matters sur les expériences du public concernant le développement et le déploiement des vaccins et des traitements contre la COVID-19. Ensemble, les témoignages soulignent non seulement la valeur d’informations précises, mais aussi l’importance centrale de la confiance et des réponses émotionnelles – de l’espoir et du soulagement au scepticisme et à l’anxiété – lors des crises de santé publique. Il est essentiel de comprendre et de changer les récits qui influencent négativement les décisions de santé en tant que déterminants émotionnels de la santé .
Plutôt que de se contenter de simplifier des faits complexes, les gouvernements et les communicateurs scientifiques doivent s’efforcer de garantir que les messages de santé publique sont pertinents pour l’individu ; non seulement pour fournir des informations précises, mais aussi pour favoriser un environnement de confiance et de compréhension, et pour reconnaître les zones d’incertitude et d’inconnues. La communauté médicale a également un rôle clé à jouer, par le biais de commentaires, de recherches et de plaidoyer.
The Lancet s’engage à soutenir ces efforts en abordant de manière proactive et, si possible, en prévenant la désinformation et la mésinformation découlant de nos publications.
Plutôt que de se contenter de simplifier des faits complexes, les gouvernements et les communicateurs scientifiques doivent s’efforcer de garantir que les messages de santé publique sont pertinents pour l’individu ; non seulement pour fournir des informations précises, mais aussi pour favoriser un environnement de confiance et de compréhension, et pour reconnaître les zones d’incertitude et d’inconnues. La communauté médicale a également un rôle clé à jouer, par le biais de commentaires, de recherches et de plaidoyer.
The Lancet s’engage à soutenir ces efforts en abordant de manière proactive et, si possible, en prévenant la désinformation et la mésinformation découlant de nos publications.
La désinformation ne peut plus être considérée comme une simple nuisance académique, mais plutôt comme une menace sociétale.
Ce n’est qu’en reconnaissant cette menace et en agissant de manière proportionnée que nous pourrons réagir au danger et combattre la vague de désinformation qui a le potentiel de nuire gravement à la santé publique.
Ce n’est qu’en reconnaissant cette menace et en agissant de manière proportionnée que nous pourrons réagir au danger et combattre la vague de désinformation qui a le potentiel de nuire gravement à la santé publique.
https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(25)00094-7/fulltext?dgcid=twitter_organic_eds25_lancet&utm_campaign=5447552-cover25&utm_content=322199388&utm_medium=social&utm_source=twitter&hss_channel=tw-27013292
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