







Ce virus est à la fois une bombe à fragmentation et une bombe à retardement, ce n'est pas une grippe banale.
Long covid—an update for primary careBMJ 2022; 378 doi: https://doi.org/10.1136/bmj-2022-072117 (Published 22 September 2022) Cite this as: BMJ 2022;378:e07211 Correspondence to T Greenhalgh
A consulter





"Il n'y a aucun mal à changer d'avis, pourvu que ce soit dans le bon sens" Winston Churchill









"Le stress modifie le tempérament d'une personne, il en fait un être désorienté." Amor Abbass
"La nature est notre meilleur anti-stress" . Keeping-fight

https://www.nature.com/articles/s41577-022-00762-9| Facteur de risque |
|---|
| Alcoolisme |
| Maladie cardiovasculaire |
| Déshydratation |
| Âge (moins de 15 ans, plus de 65 ans) |
| Maladies de la peau (psoriasis, eczéma, brûlures) |
| Absence de climatisation à la maison |
| Résider dans un édifice à plusieurs étages |
| Faible statut socioéconomique |
| Obésité |
| Métiers qui demandent un effort prolongé et une exposition environnementale à des températures extrêmes (par exemple, athlètes, militaires, mineurs, ouvriers de l’acier, pompiers, ouvriers d’usine, secouristes) |
| Médicaments/drogues : · Altération de la thermorégulation (diurétiques, bêtabloquants, anticholinergiques, phénothiazines, alcool, butyrophénones) · Augmentation de la production de chaleur (benzotropine, trifluopérazine, suppléments contenant de l’éphédra, pilules pour maigrir, amphétamines, cocaïne, ecstasy) |
| Antécédents de maladie liée à la chaleur |
| Exposition prolongée au soleil |
| Porter des vêtements trop chaud |
Dans une revue de la littérature sur les causes de la mort lors de vagues de chaleur, 5 mécanismes physiologiques perturbant 7 organes vitaux ont été identifiés (cerveau, cœur, intestins, reins, foie, poumons, pancréas). Les auteurs ont identifié 27 différentes façons par lesquelles les mécanismes physiologiques activés par la chaleur peuvent mener à la défaillance d’un organe et ultimement à la mort.
1- Ischémie
Lorsque le corps humain est exposé à la chaleur, l’hypothalamus amorce une réponse cardiovasculaire en dilatant les vaisseaux sanguins afin de redistribuer le sang vers la surface du corps (la peau) où la chaleur peut être dissipée dans l’environnement. Ce processus compensatoire peut mener à un approvisionnement insuffisant de sang aux organes internes (l’ischémie) et par conséquent à un manque d’oxygène (l’hypoxie).
2- Toxicité due au choc thermique
La température corporelle élevée provoque un stress contre lequel le corps réagit en produisant des protéines de stress et des radicaux libres qui endommagent les cellules. Ces dommages, combinés à ceux causés par l’ischémie, affectent le fonctionnement de plusieurs organes.
3- Réponse inflammatoire
L’érosion de la muqueuse intestinale permet à des bactéries et des endotoxines d’entrer dans la circulation sanguine, ce qui mène à un sepsis (ou septicémie) et à l’activation d’une réponse inflammatoire systémique. Si l’hyperthermie persiste, la réponse inflammatoire exagérée cause des lésions à différents organes.
4— Coagulation intravasculaire disséminée (CIVD)
L’inflammation systémique et les lésions à l’endothélium vasculaire causées par l’ischémie et le choc thermique peuvent initier ce mécanisme nocif. Les protéines responsables du contrôle de la coagulation deviennent suractivées et cela peut mener à la formation de caillots qui bloquent l’approvisionnement en sang aux organes vitaux. La déplétion en protéines de la coagulation sanguine peut mener ultérieurement à des hémorragies (même en l’absence de blessure) qui peuvent être fatales.
5- Rhabdomyolyse
C’est la dégradation rapide des cellules des muscles squelettiques provoquée par le choc thermique et l’ischémie. Des protéines musculaires telles la myoglobine sont alors relarguées dans la circulation sanguine et sont toxiques pour les reins et peuvent entraîner l’insuffisance rénale.
Le cœur durement touché
Dans le cœur, la combinaison de l’ischémie, de la cytotoxicité due au choc thermique et de l’hypokaliémie (carence en potassium causé par la sudation excessive) peut mener à la dégradation du muscle cardiaque. Cette atteinte au myocarde augmente les risques d’arrêt cardiaque à cause de la perte de myofibrilles et de la réduction de l’efficacité du corps à contrôler le rythme cardiaque et la pression artérielle. Le stress sur le cœur peut être exacerbé par la déshydratation qui épaissit le sang et cause une vasoconstriction, ce qui augmente le risque de thrombose des coronaires et d’accident vasculaire cérébral. Dans le pancréas, l’érosion de la paroi endothéliale permet aux leucocytes d’infiltrer le tissu, exacerbant l’inflammation. Dans le cerveau, la perméabilité de la barrière hémato encéphalique permet aux toxines et aux pathogènes d’entrer, ce qui augmente le risque de dommages neuronaux. Toutes ces réponses physiologiques sont interreliées de telle façon que la défaillance d’un seul organe peut entraîner des effets négatifs sur les autres, initiant un cycle vicieux de détérioration qui conduit souvent à des dommages permanents, à une longue convalescence, ou à la mort."








https://www-ncbi-nlm-nih-gov.proxy.insermbiblio.inist.fr/pmc/articles/PMC6803814/figure/cvz134-F1/
Contexte : l'utilisation d'anticoagulants oraux à action directe (AOD) avant l'hospitalisation en raison d'un diagnostic de COVID-19 aurait un impact potentiel sur la gravité et les résultats cliniques par la suite. Nous avons comparé l'hospitalisation/la réhospitalisation de 30 jours et les résultats cliniques entre les patients sous traitement chronique par AOD et les patients ne recevant pas de traitement par anticoagulation orale (OAC) au moment du diagnostic de COVID-19.
Méthodes : Nous avons utilisé les données de TriNetX, un réseau mondial fédéré de recherche en santé. Les patients âgés de ≥ 18 ans qui ont été traités avec des AOD au moment du diagnostic de COVID-19 entre le 20 janvier 2020 et le 28 février 2021 ont été inclus et appariés avec des patients non sous traitement par OAC de la même période. Tous les patients ont été suivis 30 jours après le diagnostic de COVID-19. Les principaux critères de jugement étaient la mortalité toutes causes confondues, l'hospitalisation/réhospitalisation, la thromboembolie veineuse (TEV) et l'hémorragie intracrânienne (ICH).
Résultats : 738 423 patients ont été inclus. Après appariement par score de propension (PSM), 26 006 patients sont restés dans l'étude (13 003 sous AOD ; 13 003 non sous OAC). Les patients traités par AOD (âge moyen 67,1 ± 15,4 ans, 52,2 % d'hommes) présentaient des risques relatifs (RR) plus élevés et une survie sans événement à 30 jours plus faible que les patients ne prenant pas d'OAC pour la mortalité toutes causes confondues (RR 1,27, 95 % IC 1,12 à 1,44 ; test du Log-Rank p = 0,010), hospitalisation/réhospitalisation (RR 1,72, IC à 95 % 1,64 à 1,82 ; test du Log-Rank p < 0,001) et MTEV (RR 4,51, IC à 95 % 3,91 à 5,82 ; Test du Log-Rank p < 0,001), mais pas pour l'ICH (RR 0,90, IC à 95 % 0,54-1,51 ; Test du Log-Rank p = 0,513).
Conclusion :chez les patients COVID-19, un traitement antérieur par AOD au moment du diagnostic n'était pas associé à une amélioration des résultats cliniques ou à un taux d'hospitalisation/réhospitalisation inférieur par rapport aux patients ne prenant pas de traitement ACO.
Controverse :
Source :
https://medvasc.info/1117-covid19-et-anticoagulants-news
#VACCINE2.0
"Les vaccins de la vie sur les bleus de nos coeurs ont la mélancolie des sols bémols mineurs." Hubert Félix Thiéfaine
Les vaccins représentent la meilleure façon de se prémunir contre des maladies potentiellement dangereuses : poliomyélite, coqueluche, rougeole, tuberculose, méningites, grippe… Soumis à de nombreux contrôles, ils sont fabriqués à partir d’agents infectieux rendus inoffensifs. La vaccination est capable de prévenir 28 maladies infectieuses, dont la grippe. ( https://www.leem.org) . Pour le COVID-19 c'est une urgence mais un peu moins urgent que le traitement dont nous avons parlé. PLusieurs équipes travaillent sur la mise au point d'un vaccin dans le monde entier. En France c'est l'Institut Pasteur qui en est le maître d'oeuvre.Mais il est souhaitable que tous les pays impliqué dnans cette recherche partage leurs informations. Le PARTAGE du SAVOIR est ma devise. Celles et ceux qui ne partagent pas le savoir doivent déménager dans une autre planète. A signaler que la majorité des grandes maisons d'édition scientifique dans le monde ont ouverts leurs portes avec des articles free en pdf, BRAVO et MERCI. J'ose espérer que les anti - vaccins, ces sombres crétins, ne vont pas apporter leurs réflexions néfastes et contre-productives.Le jour où le vaccin sera validé , efficace et sûr, nous aurons enfin une arme de prévention comme pour beaucoup d'autres maladies.Mais le traitement ,c'est une urgence au risque de me répéter.
"On ne lit pas, ni écrit de la poésie, parce que c'est joli. On lit et écrit de la poésie car on fait partie de l'humanité. Et l'humanité est faite de passion. La médecine, le droit, le commerce sont nécessaires pour assurer la vie, mais la poésie, la beauté, la romance, l'amour, c'est pour ça qu'on vit." Le Cercle Des Poètes Disparus - John Keating


"Le temps est une invention, ou il n'est rien du tout" Henri Bergson
Pangolin : "Malais, penggoling, l'animal qui s'enroule, ce qu'il fait à la manière du hérisson"
"La chauve-souris n'est pas un oiseau mais elle ne le sait pas et elle continue de voler et de pondre des oeufs." Cavanna
Le nouveau virus SARS-CoV2 à l’origine de la maladie Covid-19 a été identifié en Chine en janvier 2020. Il fait partie de la famille des coronavirus qui provoquent des maladies pouvant aller du simple rhume au syndrome respiratoire aigu sévère. On ne sait pas encore exactement d’où il provient mais la piste de l'origine animale est privilégiée .Le nouveau coronavirus SARS-Cov2 à l’origine de la maladie Covid-19 a été découvert pour la première fois en Chine, dans la ville de Wuhan. Les coronavirus sont une famille de virus affectant principalement les animaux. Certains infectent l’Homme et occasionnent le plus souvent des rhumes et des syndromes grippaux bénins. Des scientifiques affirment qu’il ressemble beaucoup à des coronavirus prélevés sur des chauve-souris. La chauve-souris serait probablement l’animal réservoir du virus. Toutefois, le virus retrouvé chez la chauve-souris ne peut pas se transmettre à l’homme. Le SARS-Cov2 aurait été transmis à l’homme par l’intermédiaire d’un autre animal également porteur d’un coronavirus ayant une forte parenté génétique avec le SARS-Cov2. Il s’agit du pangolin, un petit mammifère menacé d’extinction dont la chair, les os, les écailles et les organes sont utilisés dans la médecine traditionnelle chinoise. Des recherches sont en cours en Chine pour confirmer cette hypothèse. Source , copier/coller(https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/Fiche.aspx?doc=coronavirus-d-ou-vient-le-covid-19)
Le Pangolin est un mamifère retroiuvé en Chine et en Afrique, il s'agit d'un animal protégé. Également appelés fourmiliers écailleux, les pangolins sont des mammifères insectivores édentés, dont le corps est plus ou moins totalement recouvert d'écailles. Leur morphologie les apparente aux oryctéropes et aux tatous.Classé dans la famille des Manidae, le genre Manis se subdivise en cinq sous-genres, composés de huit espèces.Le sous-genre Manis décline deux espèces :- Manis crassicaudata (pangolin indien) que l'on observe sur l'ensemble du sous-continent indien et au Sri Lanka ; - Manis pentadactyla (pangolin chinois) qui vit sur l'ensemble du sud-est asiatique depuis le Bangladesh jusqu'au Myanmar et dans le sud de la Chine .Source , copier/coller (https://www.futura-sciences.com/planete/definitions/animaux-pangolin-14174/) ; La pangolin est chassé pour ses écailles (qui ont une vertu curative et aphrodisiaque) et sa chaire.Ceci explique sont attractivié mais aussi il est à l'origine de traffics en tout genre. Ceci peut expliquer cela.
